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vendredi, 25 décembre 2015

Cadeaux d'une fleur ! [Photos/Festivals]

Ce Noël 2015 restera gravé dans ma mémoire pour plus d'une raison, à commencer par les beaux cadeaux offerts par ma moitié dont ce magnifique marque-pages fait main et personnalisé par elle rien que pour moi, recto-verso s'il vous plait ! De quoi se remettre sérieusement à lire ! Plus de dessins de sa main : ICI

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Ca tombe bien, car j'ai également reçu La Part des Ténèbres de Stephen King en poche que je vais me faire un plaisir de redécouvrir :

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Ajouter à cela une savoureuse charlotte au chocolat (elle aussi faite maison) pour mon anniversaire :

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Une grande boite de chocolats et quelques billets à mettre de côté pour un investissement futur et vous obtenez un Noël sur-mesure.

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jeudi, 24 décembre 2015

Joyeuses Fêtes !

JOYEUSES FETES !!!

 

 

 

T’as aimé…ou pas

T’as tout lu, tout vu, tout entendu…ou pas

Peu importe, post un com et like la page pour dire que tu existes car ton avis est important pour moi, mais aussi pour le futur de ce blog, un gros merci d’avance !

mercredi, 23 décembre 2015

Skyrim RP7 : Batailles pour la Couronne d'Os [Roleplay/Skyrim]

Skyrim RP7 :

Batailles pour la Couronne d'Os

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Donjons et Champions

Les Châtelleries de Bordeciel se disputent la Couronne d'Os et naturellement l'honneur d'avoir un Jarl comme Haut-Roi légitime depuis bien trop longtemps. Afin de mettre fin à des années de guerre sanglante, désespérés, les Jarls parlementent et décident de rencontrer les Grise-Barbes au Haut Hrothgar en une session extraordinaire. Sollicitant leur incommensurable sagesse, ils leur demandent de trouver une solution plus pacifique qui permettra de définir la meilleure Châtellerie et par extension le futur Haut-Roi. 

Après plusieurs jours de réflexion, les sages proposent que chaque lieu de Bordeciel fasse l'objet d'une compétition. Chaque Châtellerie envoie à tour de rôle un champion dans chaque donjon jusqu'à ce que l'un d'eux triomphe de ses épreuves et en ressorte victorieux. La châtellerie qui aura ainsi gagné le plus de donjons sera proclamée Capitale officielle de Bordeciel et son Jarl Haut-Roi de Bordeciel.

6483918943_cdc8386d4b_o Carte de Bordeciel tout les lieux.jpg

Règles du Jeu

Les Territoires à conquérir :

Ils correspondent aux lieux principaux de Bordeciel (les lieux secondaires sont ignorés). Pour déterminer aléatoirement un donjon, déterminer la châtellerie concernée (de 1 à 9, cf ci-dessous), puis le lieu principal (se reporter à la carte du jeu) :

Les Châtelleries en lice :

  1-Haafingar [Solitude]

2-Hjaalmarche [Morthal]

3-Leclos [Aubétoile]

4-Fortdhiver [Fortdhiver]

5-La Crevasse [Markarth]

6-Blancherive [Blancherive]

7-Estemarche [Vendeaume]

8-Epervine [Epervine]

9-La Brèche [Faillaise]

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Dès que le donjon sera accompli par un champion, la Châtellerie à laquelle il est lié gagnera ce "territoire" et conservera tout le butin rapporté.

Ainsi, lorsqu'un champion périra dans un donjon, ce sera au tour d'un autre d'en affronter les périls.

Ce RP fonctionne sur le principe du DID, Dead is Dead, à savoir que la mort d'un Champion est définitive. La Châtellerie pour laquelle il combattait ne pourra envoyer un autre Champion que lorsque ce sera de nouveau son tour pour ce même donjon si les représentants des autres Châtelleries ont également péri ou si elle est tirée au sort en premier lors de la revendication d'un nouveau territoire.

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Le tout premier Champion d'une Châtellerie est obligatoirement nu et ne peut s'équiper que d'objets trouvés sur le chemin entre la ville d'où il part et sa destination (le donjon revendiqué).

Tous les objets et l'or récupérés sur le chemin d'un donjon et dans le donjon lui-même - si tant est que le Champion survive - sont à déposer dans un contenant de la Capitale d'où est originaire le Champion et qui correspondra à la Salle du trésor de la Châtellerie.

Excepté le tout premier Champion, les Champions peuvent s'équiper en puisant dans la Salle du Trésor réunissant les butins précédemment obtenus dans les donjons conquis.

Il peut être intéressant de noter le palmarès de chaque Champion et de lui donner un nom ainsi qu'un build et une apparence personnalisés.

Des territoires précédemment acquis peuvent servir à se rapprocher automatiquement d'un nouveau territoire encore neutre [voyage rapide].

La Châtellerie qui obtient le plus grand nombre de territoires ou de points (à définir) gagne le droit de poser la Couronne d'Os sur la tête de son Jarl et de le proclamer Haut-Roi de Bordeciel.

Les territoires peuvent donner plus ou moins de points selon leur difficulté et leur importance (niveau du donjon, cf Le Guide Officiel).

 

A voir aussi :

Skyrim RP 1 : Jouer RP sans mods

Skyrim RP 2 : La Mode sans Mods

 Skyrim RP3 : La Création d'un Héros

 Skyrim RP 4 : Looter n'est pas jouer !

 Skyrim RP 5 : Dons et Malédictions

Skyrim RP 6 : La Croisade de Sha Jahan

Skyrim RP8 : Profils, Exploration et Nouvelles Compétences

 

 

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mardi, 22 décembre 2015

Sicario [Cinéma/Critiques]

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Un thriller pertinent, percutant et intense dans la lignée de Le Royaume et Green Zone.

Au cours d'une opération en apparence banale, une escouade du SWAT fait une découverte sordide.

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Kate Macer va mettre un certain temps avant de comprendre clairement son rôle exact dans une opération de grande envergure menée par deux hommes pétris de secrets.

La première et pas la moindre excellente idée du film est que l'intrigue naît à l'occasion d'un fait complètement aléatoire et anecdotique. Sicario démarre donc très fort et nous cloue d'emblée sur notre siège. Si la tension redescendra par la suite, l'intérêt, lui, ne faiblira jamais grâce à trois comédiens parfaitement calibrés pour leur rôle qui donnent toute la mesure de leur talent.

Emily Blunt (L'Agence), qui avait déjà joué un personnage rompu aux situations musclées dans Edge of Tomorrow aux côtés de Tom Cruise, démontre une nouvelle fois son aptitude à incarner des femmes crédibles, complexes, à la fois fortes et fragiles. Sicario lui permet de retrouver Benicio Del Toro avec lequel elle partageait l'affiche de Wolfman. Del Toro (Les Gardiens de la Galaxie), acteur caméléon s'il en est, déborde de charisme dans la peau d'un mystérieux agent recruté par Josh  Brolin (Gangster Squad), lui-même particulièrement mémorable en homme de terrain.

Ajoutons à cela une intrigue prenante, pleine de mystères et de rebondissements. La séquence de l'embouteillage tout comme le final attestent d'une vraie qualité de cinéma. Il faut dire que le réalisateur n'est autre que Denis Villeneuve, qui avait déjà frappé très fort sur le plan émotionnel avec Prisoners. Certains personnages prennent une importance inattendue qui permet au scénario de surprendre le spectateur et de sublimer l'oeuvre dans son ensemble. Un film à découvrir d'urgence pour ceux qui recherchent l'originalité et les révélations sur la manière dont peut fonctionner la sécurité dans notre société.

 

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Fallout 4 : Fun never dies [Vidéos/Créations]


Trailer Fallout 4 Fun never dies [by RPGamer4Ever] par gregarmatory

Pour la deuxième fois (cf Les Masques) je participe à un concours artistique sur JV.Com et pour la deuxième (dernière) fois, ma créativité se retourne contre moi. Peu de candidats au final, beaucoup de redites dans la forme et le fond et je ne parviens même pas à franchir la première étape, le vote du jury qui sélectionnait les cinq premiers en vue du vote du public.

Au-delà de la douleur de mon égo, je ne peux que demeurer perplexe (une fois n'est pas coutume) sur les critères qui doivent motiver le jury (mais qui du même coup m'ôtent tout regret).

Les gagnants ont déjà le jeu, jouent sur PC et mettent en avant l'histoire principale via des plans de caméra et comme de par hasard je n'ai rien utilisé de tout ça. J'ai sûrement un début de réponse : Résultat des votes du jury

N'aurait-il pas été plus judicieux et équitable de proposer deux catégories dans ce cas ? Parce que là on a le sentiment d'avoir été hors-concours dès le début sans le savoir malgré les heures de boulot.

Je ne prétends pas avoir fait la meilleure vidéo, mais question originalité et travail j'étais clairement digne de figurer dans les cinq. Trop d'idées, trop d'humour, trop de générosité, de volonté de bien faire, de susciter de bonnes réactions, oui je plaide coupable. Mais alors avoir carte blanche quand je vois le résultat, je n'en vois clairement pas l'intérêt. Autant filer de la confiture à un cochon ! C'est bon, maintenant, j'ai bien compris, on ne m'y reprendra plus !

Mais au moins, comme m'a gentiment rappelé ma moitié, j'ai pu progresser niveau montage. L'échec n'existe pas, ce que j'ai fait me servira tôt ou tard et pour de meilleures raisons, j'en suis certain !

Voici le trailer qui a de grandes chances de remporter le prix et qui le mérite, il faut bien avouer :

 

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vendredi, 18 décembre 2015

Le Réveil de la Force [Cinéma/Critiques]

star wars VII, le réveil de la force, starwars

La Force retrouve-t-elle l'Equilibre ?

Garantie sans Spoils !

Le Spoil étant devenu un sport international sur Internet et étant parvenu à m'en préserver sur ce film, je ne commettrai pas moi-même ce crime couramment répandu (et souvent à dessein). Pour cette raison, cette critique en sera totalement dépourvue. Si vous avez déjà vu le film ou êtes immunisé aux spoils (cf addict) c'est ICI

Bien que fan de Star wars, de la trilogie originelle s'entend (oui je suis né avant les années 80, ça aide !), je mentirais en disant que j'attendais cet épisode VII avec impatience. En effet, si je me suis précipité pour aller le voir c'est moins pour me protéger des spoils intempestifs qui sévissent où qu'on aille sur le web (le côté obscur du web !) que pour satisfaire ma curiosité.

Ce nouvel épisode avait un tel défi à relever que j'étais convaincu d'être déçu du résultat, surtout connaissant mon niveau d'exigence en matière de cinéma. Et ce n'est pas le fait que Disney ait repris les rênes de la saga qui me rassurait. En même temps Lucas lui-même l'avait déjà bien sabordée, que ce soit par les rééditions (Cf Un Nouvel Espoir) ou par la prélogie (sauvée principalement par ses effets sonores c'est pour dire).

La présence annoncée de têtes connues et le choix judicieux de JJ Abrams (Mission Impossible III, Super 8) à la réalisation avait de quoi redonner confiance quant à l'orientation de ce nouveau chapitre.

Mais échaudé par Spectre (qui avait quelque peu les mêmes enjeux) j'étais retombé dans un profond pessimisme.

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En parfait mélange de R2-D2 et de Wall-E, BB8 saura séduire les spectateurs de tout âge.

Ma première et plus grosse crainte sans doute concernait un premier équilibre délicat à trouver, entre l'arrivée de (trop ?) jeunes nouveaux héros et le retour des (trop ?) vieux de la veille. Force est de constater que de ce côté j'ai été très satisfait. Les nouveaux venus sont très vite attachants et intéressants que ce soit dans leur personnalité et leur destinée et ils complètent à merveille les vétérans qui eux-mêmes retrouvent naturellement leur place. En outre, on est très heureux de retrouver Oscar Isaac dont on avait déjà pu apprécier le talent dans Sucker Punch et Ex Machina.

Les interactions des uns avec les autres amènent bon nombre de traits d'humour, de clins d'oeil et de surprises très réussis (Vous regardez encore les bandes-annonces, vous ?), même si certaines sont plus prévisibles.

Disney oblige, on pouvait se demander à juste titre si l'histoire allait contenir un aspect sombre et torturé. Et bien, c'est le cas, c'est le moins qu'on puisse dire. Le méchant fait son effet et ce dès sa première apparition, rappelant que le côté obscur n'a rien perdu de son obscurité.

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Kylo Ren cache un lourd secret derrière ce masque. Si son design est très inspiré, on en dira pas autant de celui de son maître qui rappelle beaucoup trop d'autres créatures.

Un regret concernant l'un des protagonistes les plus familiers qui fait un peu trop de figuration lors des morceaux de bravoure alors qu'il aurait facilement pu être mis en avant, d'autant qu'il n'a pas pris un seul poil blanc, le bougre !

Un autre regret sur le combat final qui manque d'ampleur et d'inventivité compte tenu des talents de Abrams en matière de rythme et d'intensité et de la jeunesse des combattants (on est loin du duel Obi-Wan VS Dark Maul). Mais cette sobriété vaut toujours mieux qu'un déluge d'effets spéciaux et de cascades virtuelles (n'est-ce pas Avengers 2 ?) A ce propos, niveau visuel, les détracteurs de la prélogie seront ravis d'apprendre que Abrams a respecté le matériau originel d'une manière exemplaire.

Egalement un dernier tiers moins palpitant qui se traîne dans les coursives.

Heureusement rien de méchant, rien qui ne ruine l'intérêt du film et sa qualité globale.

Ce qui en revanche est plus regrettable c'est l'épilogue expéditif compte-tenu des conséquences, faisant avorter l'émotion qui ne demandait qu'à sortir. Au final le plus gros défaut de cet opus ce sont les gros raccourcis. Des points importants du scénario auraient mérité d'être traités moins hâtivement, quitte à être développés sur deux voire trois films. On espère que c'est seulement parce que les suites nous réservent du lourd, du très lourd.

Certains pourront aussi trouver une autre faiblesse  en détaillant Le Réveil de la Force : la parenté frappante de sa trame narrative avec celle de la trilogie d'origine en particulier celle d'Un Nouvel Espoir. Revoir les anciens épisodes juste avant est à ce titre risqué puisque pouvant conditionner plus durement notre appréciation. Les empreints sont nombreux et marqués au point qu'on pourra qualifier ce septième épisode de décalque voire de remake déguisé.

Mais il faut aussi se rappeler que dans ses ambitions premières, Star Wars n'est jamais qu'un Pulp, un Serial, et dans ce cas précis, c'est sans doute un mal pour un bien que de cultiver des thématiques et des situations récurrentes et un plaisir de les découvrir sous d'autres formes.

Quand on sait dans quels travers cette renaissance aurait pu conduire la saga, on ne peut qu'applaudir et reconnaître que l'objectif est atteint, le défi relevé : réveiller la force autant que l'engouement du cinéphile, du passionné, (du geek ?) pour un univers qu'on a l'impression de connaitre par coeur et qui dans le même temps n'en finit pas de dévoiler sa richesse. Vivement la suite ! (Oui, cette fois je suis très curieux !)

star wars vii,le réveil de la force,starwars

A Tours, pas d'avant-premières pas plus que d'affichages en ville. Etonnant pour un film de cet acabit aussi attendu. Au moins le monopole a-t-il été circonscrit en salles. Et non, il n'y a pas de scène post-générique. Quoi ? Vous vous êtes cru chez Marvel ?

En Lien

 starwars,j.j. abrams

Dark Vador in Love

Ryan VS Dorkman 2 [Starwars]

Cello Wars : Parodie Musicale Starwars

Mon Best-of Cinématiques de Jeux Vidéo

 

 

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lundi, 14 décembre 2015

Voter libre, voter blanc ! [Société]

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Cette illustration, bien qu'explicite, ne doit pas pour autant être prise au pied de la lettre. Pour qu'il soit comptabilisé en tant que vote blanc, et non en tant que vote nul, un vote blanc doit être exprimé par une enveloppe vide ou contenant un papier blanc, vierge de toute écriture.

Les résultats des élections en Indre et Loire nous apprennent qu'il y avait 79 187 inscrits dont 42 999 votants [54,30%], 36188 abstentions [45,70%], 818 blancs [1,03%] et 872 nuls [1,10%]. Oui presque autant de blancs que de nuls. Si on les rassemble, car ils pensent en toute logique la même chose, on obtient 2,13%. Si on ajoute ne serait-ce que la moitié des abstentionnistes [22,85%], on obtient 24,98%. A méditer.

Sans le vote blanc, nos choix se résument à élire un parti raciste et fasciste ou répéter encore et toujours les même erreurs en donnant le pouvoir à ceux qui ont déjà prouvé leur indifférence à notre égard et leur égoïsme. Autant dire que le choix est illusoire. Nous sommes condamnés à le regretter et nous cultivons au mieux la loi du "moins pire". La démocratie, ce n'est pas ça. La démocratie n'existe pas, elle est encore à construire.

Le gouvernement ne nous cèdera pas le vote blanc à moins de le lui imposer par des chiffres. Alors votons blanc, signons la pétition...ou faisons la révolution quand nous nous retrouverons dans l'impasse. Mais chacun sera responsable du résultat. Sans exception.

Source : Résultat des élections régionales 2015 par commune

 

Court métrage en compétition : Je suis une Voix

 Pétition pour la reconnaissance du vote blanc en tant que voix

 

 En Lien :

Voter pour Résister

Dans deux ans on vote blanc !

 

 

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jeudi, 10 décembre 2015

Projection Mapping 3D [Société-Technologie/Vidéos-Clips]

En vagabondant sur le net j'ai découvert Ufunk, un site Geek rempli de trucs intéressants, drôles et étonnants. C'est ainsi que je suis tombé sur quelques applications de la projection mapping 3D. Ou comment créer des effets spéciaux aussi variés que sophistiqués et les utiliser en temps réel sur de la matière. Bluffant !

 

 

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mercredi, 09 décembre 2015

Spectre [Cinéma/Critique]

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Un James Bond qui sent le sapin...

UN BOND EN ARRIERE

Après avoir renoué avec la qualité avec Skyfall en mêlant audacieusement mythe de la franchise et modernité, il restait à transformer l'essai, à exploiter pleinement le matériau ainsi révélé. Pour garantir la réussite, les producteurs ont refait appel à Sam Mendes. Le même réalisateur pour deux opus successifs, ça n'était pas arrivé depuis John Glen dans les années 80 (qui lui en a carrément fait cinq !).

Après une intro pour le moins enthousiasmante (dont un plan-séquence aussi mystérieux qu'élégant) et un générique à l'esthétisme éblouissant sublimé par la voix de Sam Smith, on ressent comme un frisson d'excitation à l'idée de ce qui nous attend. Tout est là pour préparer la fin de la période Craig (Cowboys et Envahisseurs, Dream House) en beauté (il devrait en faire un de plus et après bye bye).

Et puis les minutes et les heures s'écoulent (2h30) et le constat fait mal : le film passe complètement à côté de son potentiel. Il y a plusieurs raisons à cela. La première est évidente : un travail d'écriture aussi maladroit que paresseux. Des dialogues simplistes au possible, un manque de profondeur et d'intensité, des personnages qui semblent se téléporter aux quatre coins du globe en dépit de contraintes horaires, des incohérences ou manque cruel d'explications, une sensation de vide, de fadeur sur l'ensemble. 

Et puis la mise en scène qui ne rattrape rien. Aucune séquence mémorable (hormis donc le début), une grosse absence d'émotion, de suspense. Tous les ingrédients sont là, mais la manière dont ils sont placés transpirent tellement le cahier des charges que ça finit par faire sourire. Si cela avait été le premier Bond de Craig, on aurait pu pardonner. Mais le fait est qu'avec Casino Royale, la saga a justement connu le meilleur, toutes périodes confondues. La comparaison avec Skyfall fait déjà très mal, alors avec Casino Royale, encore plus, c'est le jour et la nuit. En fait on en revient presque au niveau de Quantum of Solace. Spectre est évidemment plus bondien dans l'âme, mais pour autant cela ne le sauve pas de l'échec tant il ruine ses atouts.

Ses atouts, parlons-en, justement. SPOIL

spectre,james bond,oo7

Regardez bien cette photo de Monica, ça compensera un peu son absence dans le film.

Annoncée en James Bond Girl, Monica Bellucci était sans conteste un argument. On se demandait même pourquoi elle n'avait pas été recrutée plus tôt tant elle était taillée pour le rôle. Sa silhouette, son accent, elle pouvait faire merveille. Pouvait effectivement, car en cinq minutes de présence difficile de donner de l'ampleur à notre madone préférée. Elle aurait pu renouer avec un personnage de beauté fatale mâtinée de belle tordue à la Dobermann, elle se contentera de jouer la veuve vulnérable vivement réconfortée par Bond. La première erreur et pas la moindre qui prédit le naufrage.

Comme explicité dans Skyfall, on attendait donc plusieurs éléments emblématiques renvoyant aux anciens opus. Ils sont bien là, mais leur exploitation est réduite au strict minimum. Spectre, ce nom suffit à faire frissonner tout fan de la première heure, en particulier de l'époque Sean Connery. La pieuvre qui lui sert de symbole, elle, renvoie à l'Octopussy de Roger Moore avec en prime la mention de 009.

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Le choix de Christoph Waltz (Django Unchained) pour incarner le diabolique Blofeld (cette fois avec des cheveux) m'apparaissait clairement comme une fausse bonne idée. Le comédien est déjà connu pour plusieurs rôles de bad guy. Son jeu et ses expressions récurrents me lassaient et de les revoir dans ce contexte n'y changeait rien, bien au contraire.  Là où le choix de Javier Bardem apparaissait comme vraiment audacieux et inspiré, le choix de Waltz trahissait plutôt une facilité. Peut-être les producteurs ont-ils voulu redonner vie à l'inoubliable officier SS d'Inglorious Basterds. Intention louable, mais ça ne prend pas. Avec un temps de présence, lui aussi, très limité, Waltz, même en faisant preuve de plus de sobriété qu'à l'accoutumée, ne marque pas le spectateur. Cela aurait été l'occasion pour lui de renouveler son registre, mais au contraire, tout comme le reste du film, il semble effacé, fantomatique...pour ne pas dire spectral. Son lien avec Bond était une excellente idée, hélas sous-exploitée, Bond demeurant désespérément imperméable à l'émotion de surcroît.

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Dave Bautista (Les Gardiens de la Galaxie) devait, quant à lui, être l'héritier des bras-droits charismatiques dans la lignée de Odd Job et surtout de Requin. Impressionnant, menaçant, il l'est, il en fera la démonstration lors d'un violent affrontement dans un train (hommage probable à L'Espion qui m'aimait), mais encore une fois, les scénaristes ne lui ont pas donné pleinement les moyens de s'exprimer. Une idée tuée dans l'oeuf de plus. Il semblerait que dans leur crainte de trop verser dans l'hommage aveugle, les auteurs aient délibérément bridé toutes leurs ambitions, mais au final, on se retrouve avec des embryons qui mis bout à bout révèlent une oeuvre de pur amateur.

James Bond en montagne, dans la neige. Dans son intention de renouer avec l'historique de la saga, on se dit que forcément, les scénaristes ne vont pas passer à côté de l'occasion de nous servir une course-poursuite à ski digne de ce nom (comme dans Au Service secret de sa Majesté, L'Espion qui m'aimait - sans incrustation c'est mieux - ou en snowboard comme dans Dangereusement vôtre). Bah non, ce sera en avion. Original, c'est vrai, mais quelle déception. Parce qu'Inception était déjà passé par là ?

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J'avais plusieurs raisons de me faire du souci quant à cet opus dus essentiellement au choix du casting en plus de Christoph Waltz : la présence de Léa Seydoux qui m'avait laissé un mauvais souvenir dans un précédent blockbuster d'espionnage : Mission Impossible : Protocole Fantôme. Ici, elle incarne la James Bond Girl à la fois forte et fragile qui va faire succomber à nouveau l'espion. Intéressante, mais leur idylle téléphonée est d'autant moins crédible quand on se souvient de celle entretenue avec Vesper. Une Vesper dont il fera définitivement le deuil (la vidéo d'interrogatoire), mais une porte de sortie pour Craig qui laisse un amer goût d'inachevé.

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Et puis il y a l'intrigue générale - méga SPOIL - qui, elle, copie un peu trop celle du cinématique de Marvel en faisant de chaque épisode le morceau d'un puzzle narratif. Pas un défaut en soi, car ça se goupille plutôt bien, mais quand on constate l'intrusion du Spectre au sein du MI6 impossible de ne pas faire le parallèle avec les évènements de Le Soldat de l'Hiver. D'autant que ce "rebondissement" est prévisible dès le début.

Un Bond qu'on oubliera donc très vite et qui ne fera que sublimer davantage l'indétrônable Casino Royale qui n'en avait pourtant plus besoin. Maintenant que la place est libre pour un nouveau 007 (oui parce que Bond c'est son vrai nom à Craig, fausse bonne idée ça aussi !) et une nouvelle orientation, gageons que la production fera de nouveau appel à Martin Campbell (Green Lantern, Hors de Contrôle) pour ressusciter pour la troisième fois l'immortelle saga et la remettre sur de bons rails.

 En Lien :

The Best of Spectre

Spectre ou l'exemple parfait de l'élégance selon Bond

james bond, oo7, espionnage,Dans Cold Blood, découvrez une fin inédite pour Craig/007 !

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lundi, 07 décembre 2015

6 décembre 2015 : Attentat dans les urnes ! [Société]

6 décembre 2015

Attentat dans les urnes !

60 millions de victimes

régionales 2015

La France rappelle qu'elle est bel et bien le pays des droits de l'Homme :

Le droit d'être con

Le droit d'être indifférent

Le droit d'être réduit au silence (partis boycottés par les médias, vote blanc non comptabilisé dans les voix)

Le droit d'être vraiment dans la merde !!!

La Réaction des Terroristes

Qu'ils élisent le FN aussi en 2017 comme ça on aura encore plus de raisons de tout faire péter et moins de chances de tuer un arabe !

 

 

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vendredi, 04 décembre 2015

Misery par Elo [Cinéma/Trailers]

J'ai l'honneur et l'avantage de vous présenter le tout premier montage de Elo. En digne passionnée de l'oeuvre de Stephen King et plus particulièrement de Misery. Pour une première, une belle réussite que j'ai eu le privilège de voir se développer jusqu'à la touche finale.


 

En Lien :

I'm your number one fan

 

 

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mardi, 01 décembre 2015

Red Dead Redemption [Jeux Vidéo/Critiques]

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Deux ans après la sortie de GTA IV, Rockstar produisait le nouvel opus d'une licence ayant pour cadre l'ouest américain. Je me souviens encore des annonces faites quant aux possibilités du jeu et notamment la richesse de l'écosystème. J'en bavais littéralement.

Il s'avère que non seulement Red Dead Redemption ne m'a pas déçu, mais qu'il est devenu pour moi le chef-d'oeuvre de Rockstar. Faut dire qu'à l'époque la nouvelle orientation prise pour GTA m'avait fait l'effet d'une douche froide.

Même si John Marston est loin d'être un ange, il n'en reste pas moins qu'il s'éloigne des crapules que le studio avait l'habitude de nous faire incarner. Devant se racheter une conduite aux yeux de la loi, rêvant d'une vie de famille paisible, le voilà donc courant après ses anciens partenaires avec lesquels il jouait les hors-la-loi quelques années plus tôt. Sur sa route, il croisera une belle brochette de personnages, tour à tour, admirables, détestables, cocasses ou franchement inquiétants. Pour au bout du compte nous livrer un final dantesque digne des plus grands westerns tout en réussissant le pari fou de nous surprendre et nous émouvoir via un procédé narratif inédit.

Petit retour sur un jeu époustouflant à plus d'un titre qui a laissé une empreinte durable dans l'esprit des joueurs et qui continue de séduire dès lors qu'on s'y attarde à nouveau :

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John Marston éclate de charisme. De sa voix éraillée (sublime VO) au visage couturé de cicatrices (attestant d'un passé agité) en passant par la tenue et la dégaine, cet anti-héros force le respect et l'admiration. On prend un plaisir fou à arpenter ces étendues désertiques, régler quelques comptes à des voyous en n'oubliant pas un séjour de rigueur au saloon le plus proche histoire de vider quelques chopines (attention au verre de trop !) et de se taper l'incruste sur une table de poker pour plumer deux-trois péquenauds (à moins que ce ne soit l'inverse).

Les détails qui tuent sont légions dans RDR. Plus vous serez fidèle à un cheval, plus son endurance sera élevée. Un coup d'oeil à votre cartouchière vous indiquera approximativement la quantité de munitions qui vous reste pour chaque arme.

Le menu radial des armes annonçait celui de GTA V. Les différentes armes regroupées par catégorie : colts, armes de lancer, de corps à corps, carabines, fusils à lunette, fusils de chasse,... L'inventaire s'étoffe au gré du scénario.

Des croix apparaissent sur la mini-map pour indiquer l'emplacement des corps, système que reprendra Far Cry 3 et 4. Pratique pour récupérer sans encombres quelques dollars ou trophée de chasse. Il suffit aussi de passer sur les armes des morts (à pied ou à cheval) pour récupérer leurs munitions.

Si utiliser un voyage rapide reste une option classique et nécessitera un inévitable chargement, il existe plusieurs moyens de  conserver l'immersion jusqu'au bout : monter dans un train (depuis un cheval lancé au galop c'est encore mieux !) et se laisser guider (sur le toit d'un wagon c'est encore mieux !) ou prendre une diligence. S'asseoir à côté du cocher c'est encore mieux car on peut continuer de manoeuvrer Marston. On peut ainsi vivre une expérience absolue en parcourant en temps réel la carte mise à notre disposition. Personnellement, c'est l'un des aspects qui m'a le plus bluffé et qui prouvait que le jeu vidéo venait de faire un grand bon en avant.

Les animations sont également très réussies avec force détails étonnants la première fois comme lorsque notre destrier se cabre  ou que Marston se met à couvert à côté d'une fenêtre et qu'il casse naturellement la vitre pour pouvoir tirer. On s'amusera donc beaucoup à chercher jusqu'où les développeurs ont poussé le réalisme : tirer sur les lampes et voir le pétrole enflammer les alentours, découvrir que les chiens nous suivent des yeux lorsqu'on se baisse et qu'on se relève,...

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Un cavalier qui surgit hors de la nuit, court vers l'aventure au galop...(sur un air connu)

La carte est vaste (une deuxième partie - le Mexique - se débloquant plus tard dans le scénario comme dans Far Cry 2) et si le désert ne vous ennuie pas trop, vous serez en mesure d'apprécier de magnifiques panoramas, sublimés par des soleils levant et couchant de toute beauté et un ciel nuageux du plus bel effet. A noter qu'en fin de scénario on a accès à une région enneigée (Tree Falls) qui contraste à merveille avec les étendues arides sillonnées au préalable.

Un écosystème développé et cohérent, chasse et cueillette au programme, dépeçage et revente de peaux et d'autres trophées, autant de features qu'Ubisoft reprendra également à son compte avec Far Cry 3 et 4. L'animation du dépeçage est réussie (avec en prime quelque juron de Marston) et ne reste en toute logique que la carcasse de l'animal, ce qui est quand même plus crédible que dans Far Cry 3 et 4 dans lesquels on a l'impression de ne faire qu'extraire les viscères.

Les chevaux remplacent les voitures, mais on ne perd pas au change étant donné la remarquable modélisation dont ils ont bénéficié. On s'extasie de voir les muscles des équidés s'animer selon leurs mouvements. Quand on repasse après sur Assassin's Creed II ou III, le choc est assez violent, il est vrai.

Plus de trajets en voiture, certes, mais on a toujours droit à ces sempiternels dialogues en début de mission. A propos de conversation, comme dans les GTA, les dialogues des missions principales et secondaires sont traduits intégralement, mais ce n'est hélas pas le cas des répliques entendues lors des phases d'exploration libre. On aurait aimé savoir ce que disent ces aventuriers lorsqu'on s'assit à leur campement comme pour écouter une histoire passionnante au coin du feu (ça aurait été l'occasion d'accéder à de nouvelles missions d'ailleurs comme dans Skyrim). Les chevaux s'achètent ou se domptent dans la nature via un mini-jeu qui demande juste ce qu'il faut de patience et de doigté.

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Mais le lasso ne vous servira pas qu'à attraper vos futures montures, il vous permettra également de capturer des cibles selon vos envies/besoins : criminels, citoyens, hommes de loi. Les trainer au sol comme dans les western vous amusera peut-être surtout si un rocher ou une falaise passe à proximité. On pourra même chevaucher un âne. Pour changer officiellement de monture, suffit de l'attacher comme un vrai cowboy. Dommage que les montures soient stockées simplement dans l'inventaire, sans même un visuel pour nous renseigner.

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On regrette que certaines activités annexes n'aient pas été plus approfondies comme pouvoir se constituer son propre ranch ou faire du rodéo. Mais heureusement Rockstar a quand même pensé à rendre les à-côtés variés et fort plaisants avec entre deux missions annexes et évènements aléatoires la possibilité de se détendre sur une partie de poker classique ou menteur (avec les dés), un bras de fer, un jeu du couteau ou du fer à cheval. Le duel, lui, demandera un certain temps d'adaptation pour être compris et ce sera toujours l'autre qui vous provoquera, de manière aléatoire, à vous de voir si vous voulez relever le défi.

Niveau sauvegarde c'est un système entre deux. On ne peut pas sauvegarder n'importe quand, mais on a une certaine liberté, plus que dans GTA IV et les précédents opus. Il suffit d'établir son campement hors des sentiers battus, mais en s'éloignant aussi des rivières, des villes, et des hauteurs. On peut aussi profiter du confort de quelques campements et de chambres d'hôtel. En plus de sauvegarder, à ce moment là, on peut également changer de tenue ou faire un voyage rapide.

Les tenues se débloquent en obtenant différents composants ou selon certaines missions réussies. Certaines ajoutent des bonus, d'autres ont un effet purement esthétique (j'ai une préférence pour la tenue mexicaine de Hayes). Vous pourrez même vous déguiser comme un membre de gang et vous infiltrer parmi eux lors d'une mission Mort ou Vif pour mieux mettre la main sur votre cible. On regrettera que même en furtivité, la mort d'un hors-la-loi recherché déclenche automatiquement l'agressivité de ses acolytes. Mais à part participer à une attaque de diligence (encore faut-il tomber dessus) l'interaction avec le milieu criminel est anecdotique.

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Si Marston est présenté comme un bon samaritain, on pourra toutefois jouer nous-mêmes les hors-la-loi comme pour mieux restituer son passé criminel. Mais tuer d'innocents citoyens ou des hommes de loi vous vaudra d'être pris pour cible. Une prime tombera qui augmentera selon vos crimes. Vous pourrez effacer votre ardoise en payant  ou en trouvant des documents spéciaux. A noter que le port du foulard vous rendra anonyme et dès lors vous ne serez pas inquiété par une quelconque prime. Si votre réputation est assez négative, vous pourrez visiter la ville de Thieve's Landing en toute tranquillité. Et si vraiment vous atteignez le plafond en matière de noires actions, vous obtiendrez un destrier spécial.

La météo est un autre point fort du jeu. Si l'ambiance est déjà de base très réussie avec des panoramas et une lumière aux petits oignons, quand vient la pluie et l'orage c'est tout bonnement grandiose. Les éclairs font un effet boeuf sur le décor et le sol détrempé dans lequel le héros laissera des traces de botte ajoute encore au réalisme.

Une empreinte durable, donc.

 En Lien :

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