vendredi, 05 avril 2013
La télé-réalité uniquement après 22h ? [Société]
VS
Si d'aucuns plébiscitent cette émission pour ses aspects valorisants de survie et de dépassement de soi, il faut aussi souligner que l'esprit de compétition oblige souvent les candidats à faire preuve d'égoïsme et d'une certaine cruauté vis à vis de leurs semblables. On est pas dans une fiction, et ça change pas mal de choses.
Une fois n'est pas coutume, c'est après plusieurs drames que les autorités compétentes décident de monter au créneau. Hélas, pas forcément de manière cohérente.
Après le décès d'un candidat de Koh Lanta et le suicide du médecin de l'émission, le CSA réfléchit sérieusement à la question de ne diffuser les programmes de télé-réalité qu'à partir de 22h. Une autre solution envisagée : une meilleure signalétique à l'attention des parents pour mieux cerner ce qui peut être regardé par leurs enfants.
C'est bien joli tout ça, mais peut-être aurait-il fallu commencer par là, non ?
Le fait est, qu'on cautionne ou pas ce genre d'émissions, qu'il y a un amalgame maladroit fait par le CSA. Dans sa réaction, en effet, le Conseil Supérieur de l'Audiovisuel semble s'indigner du contenu sensible des émissions en prenant pour cible les récents et tragiques évènements alors qu'il est assez évident qu'ils méritent tous deux une analyse et une réflexion dissociées.
Il y a d'une part une problématique d'encadrement que ce soit au niveau des candidats des émissions de télé-réalité ou bien des intervenants professionnels. Et peut-être par extension une prise de risque trop élevée. Si on constate peu d'accidents notables sur le nombre d'émissions produites, on sait très bien que, l'audimat aidant, les producteurs n'ont pas trop de scrupules à pousser le challenge et l'audace un peu plus loin, quitte à dépasser les limites de ce qu'il sont capables les uns et les autres d'assumer.
Bien que les candidats soient majeurs et responsables de leurs choix, on ne peut pas pour autant dire amen à toutes les possibilités offertes par ce type de programme. Des candidats il y en aura toujours. Par contre, de la responsabilisation et du recul, ça c'est une autre paire de manches. Le fait est qu'ils manquent déjà sérieusement à l'appel.
D'autre part, Le CSA réagit tardivement sur la question du contenu sensible de ces émissions en général. On le sait, beaucoup d'entre elles passent à des heures de grande écoute, notamment sur la TNT, et si elles ne présentent pas une violence évidente, elle mettent néanmoins en valeur des propos et des comportements négatifs et bêtifiants, la mécanique maintenant bien huilée du buzz - qui n'a plus rien de spontané - contribuant très largement à la visibilité et au succès de ces "dérapages".
Mais une autre question est à poser, et ce depuis longtemps : quand arrêtera-t-on de penser que sous prétexte qu'un programme recueille l'adhésion du public, cette raison seule suffit à légitimer son existence et sa perpétuation en dépit des valeurs très discutables qu'il véhicule à ce même public ? Surtout quand ce public comprend notre jeunesse, laquelle aurait bien besoin qu'on lui montre enfin de bons repères et de vrais modèles à suivre.
On me rétorquera bien aimablement que chacun est en droit de regarder ce qu'il veut. J'entends bien, alors je répondrais tout aussi aimablement :
On peut penser que notre société a la télé qu'elle mérite. Mais il est sûrement plus intelligent de se dire que le reflet serait plus beau si le miroir commençait lui-même par se refaire une beauté.
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mercredi, 03 avril 2013
D'Aile et d'Air Pur [Photos]
Que fait donc ce papillon au milieur de tous ces oiseaux ? Et bien si vous relisez le titre de cette série, vous constaterez qu'il a tout à fait sa place ici ! Bon, d'accord, la vraie raison, c'est que je n'avais plus de photos d'oiseaux intéressantes...
LA PHOTO BONUS
Un bec d'oiseau, c'est évident ! Quoique...
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mardi, 02 avril 2013
Un Jour, Une Action [Société]
Voilà un site pour le moins original et intelligent, puisqu'il propose de contribuer au respect de la planète d'une manière ludique avec pour chaque B.A. choisie un nombre de points à gagner. Vous pouvez même proposer les vôtres.
Un moyen simple et sympathique de s'investir personnellement dans la lutte contre les abus au quotidien.
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lundi, 01 avril 2013
Mon Top 10 Xbox 360 [Jeux Vidéo]
20:24 | Lien permanent | Commentaires (0)
dimanche, 31 mars 2013
Ariel Hill : The Best of Cover [Vidéos/Live]
Vous connaissez sûrement cette pratique très répandue baptisée "Cover" qui consiste à reprendre une chanson très populaire et à filmer sa performance pour la diffuser sur Youtube afin de se faire connaître.
Si on a droit à de nombreuses reprises de bonne facture, certain(e)s se démarquent largement par une approche beaucoup plus personnelle qui au-delà de l'hommage réussi, parviennent à créer une oeuvre à part entière. Pour exemple, je citerais le groupe Pentatonix avec son adaptation du Somebody That I Used to Know de Gotye ou encore celui du Umbrella de Rihanna version Mandy Moore.
Il faudra désormais compter avec une interprète américaine nommée Ariel Hill dont je vous propose ici deux performances majeures. La chanteuse a su se réapproprier complètement les titres originaux. Les arrangements vocaux et bien sûr la voix elle-même sont à tomber, nous laissant, nous-mêmes, sans voix !
Ici, accompagnée de JLB Studios. Le refrain à trois voix donne une émotion supplémentaire à une chanson déjà très puissante : She Wolf par David Guetta feat. Sia
Cette fois en solo, pour un Cover hallucinant du Creep de Radiohead. Sa ressemblance frappante (délibérée ?) avec Reese Witherspoon (expressions comprises) ajoute grandement au plaisir.
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jeudi, 28 mars 2013
Les Chroniques de Zarlia : L'Arc de Kaheillys T.1 Prophéties
J'ai le plaisir de vous annoncer la disponibilité d'un roman écrit par un artiste talentueux et sympathique rencontré sur un festival de jeux. Son livre est disponible sur amazone à ce lien :
Les Chroniques de Zarlia : L'Arc de Kaheillys T.1 Prophéties
En rupture actuellement, mais comme il le dit lui-même, ça ne va pas durer, alors à surveiller de très près !
Sa page Facebook : Quentin Lacotte
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mardi, 26 mars 2013
En Plein Ciel 2 [Photos]
La photographie ou la volonté d'immortaliser et de faire connaître des tableaux temporaires que nous sommes parfois les seuls à remarquer.
La nature, de l'art à l'état pur, qui ne demande rien, qui ne s'affiche pas, qui seulement se livre à qui veut bien lui accorder du temps.
LA PHOTO BONUS
Baleine ou cachalot ?
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lundi, 25 mars 2013
PEGI fait sa Pub
PEGI étant l'unique organisme habilité à jouer un rôle dans la classification des jeux vidéo, son influence est extrêmement importante quoi qu'on en dise. Mais le fait est que son action est ignorée car beaucoup trop limitée par rapport aux besoins actuels et ce n'est certainement pas ce genre de pub qui va aider les parents à comprendre la signalétique (déjà faible rempart contre les abus) et leur responsabilité dans le processus d'acquisition des jeux.
A l'heure où les jeux vidéo se font plus réalistes et proposent un contenu complexe et sensible que ce soit visuellement et/ou psychologiquement, il serait grand temps d'adopter une politique de sensibilisation véritablement égale à celles du cinéma et de la télé. Et puisque personne ne semble vouloir agir en toute conscience pour proposer un cadre protecteur, la loi ne devrait-elle pas enfin avoir son mot à dire sur la question ?
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dimanche, 24 mars 2013
Elle par Lado [Poésies/Prose poétique]
ELLE
Je vais la rejoindre, je vais à sa rencontre. Elle est là.
Ailleurs, elle aurait pu être absente. Mais ici, elle est toujours au rendez-vous.
Elle n'est pas toujours la même. Je la préfère agitée, car ainsi, même dans l'obscurité, je sens sa présence, j'entends sa mélodie, ce scintillement musical qui la caractérise. Je l'aime de jour comme de nuit.
Oh, je ne suis pas la première à lui vouer un tel amour, d'ailleurs le mien est bien modeste et indigne de sa grandeur, je ne lui ai jamais donné de belles preuves d'amour comme ont su lui donner d'autres avant moi (et d'autres après).
Je ne l'ai rencontrée que très tard dans ma vie, c'est ce qui explique ma réserve. Il est assez étrange d'imaginer le nombre d'années que j'ai vécues sans elle alors qu'une fois découverte, je l'ai trouvée indispensable à une vie, à mon équilibre mental.
J'aime sa musique, j'aime sa beauté. Ces mots, bien que justes, sont insuffisants, bien fades, pour décrire la réalité de mon amour et de sa magnificence. Elle a un effet magiquement apaisant sur moi, elle est une compagnie, peut-être plus. Et puis, elle ne me demande rien, enfin je crois. Peut-être ai-je été sourde à ses doléances. Il me semble que je peux me présenter à elle dans n'importe quel état (naturel). Je la voudrais plus accessible, mais il faut la mériter, c'est son seul défaut. En est-ce un ?
Ses vagues s'échouant sur les rochers où on a pris place, sa transparence, j'ai chaque fois envie de la rejoindre, la toucher, m'immerger.
Je projette toujours le même rêve, celui de la parcourir, peut-être seule, d'être en tête à tête, mais je sais qu'alors elle ne sera pas la même, que je serai dépendante d'elle, en danger peut-être...sûrement. Mais je continue de caresser ce rêve, car de là où je rêve, je n'ai pas peur d'elle, je l'aime.
Extrait de Lado L'odyssée d'une âme (journal de ma soeur)
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vendredi, 22 mars 2013
Deus Ex Human Revolution [Analyse]
Petit coup de pub pour un gros de coeur : voici la première d'une série de vidéos faite avec passion et intelligence ou comment aborder l'intérêt du jeu vidéo autrement en faisant résonner des thèmes et des réflexions très actuels. Rendez-vous sur Youtube pour liker et laisser un max de coms à son auteur avec qui j'ai la chance d'échanger et qui mérite toute notre attention et notre soutien dans son approche très pertinente.
Si le sujet vous intéresse, un autre bon moyen de le creuser : Un Monde sans Humains ?
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jeudi, 21 mars 2013
En Plein Ciel [Photos]
Je savais que la nature était une source d'inspiration inépuisable, mais plus je prends de photos et plus je réalise à quel point c'est loin d'être une phrase toute faite. Surtout quand le sujet est le ciel et les nuages. Pour peu qu'on ait un brin d'imagination alors là, c'est le jackpot assuré ! Voici mes interprétations, n'hésitez pas à me faire partager les vôtres.
Aurais-je ouvert une porte menant à une autre dimension ?
Un quadrupède avec une tête de perroquet de cartoon.
Un nouveau Christophe Colomb à la découverte d'un nouveau continent.
Une tornade...en mode camouflage.
Les nuages ou cette incroyable sensation de volume pourtant si inconsistant !
C'est l'heure de pointe en plein ciel.
Un gros canard qui fixe un objectif connu de lui seul.
Deux nuages sur le point de se serrer la main...ou bien d'engager un furieux bras de fer !
Un mignon bébé dinosaure !
Ca y est, j'ai trouvé le trou de la couche d'ozone ! C'est vrai qu'il commence à bien se voir !
LA PHOTO BONUS
Là aussi plusieurs interprétations possibles, si l'on en juge par la forme de la flaque d'eau et le nuage qu'elle reflète : une échographie pour madame, un trouble digestif pour monsieur, au choix.
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d'Art & d'Humour N°3 : Les Zombies [Dessins]
Toute ressemblance avec des personnes existant ou ayant existé serait vraiment pas étonnante.
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mercredi, 20 mars 2013
Warm Bodies [Cinéma/Critiques]
Et si tomber amoureux était la seule façon pour un zombie de redevenir humain ? C'est sur ce concept en or que le réalisateur/scénariste Jonathan Levine a construit le film Warm Bodies, lui-même adapté du roman d'Isaac Marion.
Le film promettait de trouver un angle rafraîchissant et pour le moins original dans un genre vu et revu, mais qui nous a cependant livré récemment quelques petites perles comme Bienvenue à Zombieland.
Mais Warm Bodies va beaucoup plus loin, en nous mettant carrément dans la tête d'un zombie - en l'occurence le jeune, mais génial Nicholas Hoult (le Fauve de X-Men : Le Commencement). Un zombie n'étant pas ce qu'il y a de plus loquace, c'est donc régulièrement par l'intermédiaire de sa voix-off que le spectateur est connecté à ses pensées et son intimité. Non seulement on se prend rapidement d'affection pour lui, mais en plus par ce biais, on découvre carrément l'envers du dégore (j'assume !). On apprend par exemple enfin pourquoi les zombies sont si friands de cervelle humaine. Et la réponse ne manquera pas de vous surprendre. De brillantes idées qui nous valent un prologue irrésistible et immédiatement culte.
Vient ensuite LA rencontre, le coup de foudre qui va bouleverser ce touchant mort-vivant et avec lui toute l'intrigue mise en place. Mais paradoxalement, c'est à ce moment là que quelques incohérences assez importantes viennent casser la crédibilité du film, surtout quand on connait la nature insatiable des zombies et la témérité de Julie, interprétée par la belle et talentueuse Teresa Palmer (L'Apprenti Sorcier), inoubliable guerrière dans le sympathique Numéro Quatre.
Heureusement, cette mauvaise impression d'assister à un soudain naufrage ne perdure pas longtemps et est rapidement oubliée grâce aux sentiments naissants de ce couple plain de charme, pour le moins improbable et aussi à une enfilade d'excellents gags. Car la réussite de Warm Bodies c'est d'osciller constamment entre rire et drame, chaque aspect nourrissant l'autre, le tout sublimé par une BO aussi présente qu'accrocheuse. L'intrigue s'intensifie et on comprend que finalement tous les éléments sont liés jusqu'à une belle conclusion.
La dernière partie passe en un éclair et on regrette que le film se boucle si rapidement, certaines idées méritant d'être plus développées. Mais à l'instar de Chronicle, Warm Bodies est de ces films qui vont à l'essentiel, droit au coeur, sans oublier de nous faire cogiter, l'histoire pouvant être appréciée selon plusieurs niveaux de lecture. Les zombies et les résistants humains représentent de parfaits symboles et contrairement à ce que vous pouvez penser, les vivants n'ont pas forcément le meilleur rôle, selon la métaphore associée. Quand l'espace d'un bref flashback, l'on voit un aéroport rempli de gens, les yeux rivés sur leur portable, on se dit que le mot zombie peut prendre de nombreux sens, surtout dans la société qui est la nôtre. De même que le dernier plan du film - ô combien emblématique - saura très certainement vous rappeler un épisode majeur de notre histoire. Mais cela, vous ne le saurez qu'en voyant le film.
L'un des slogans nous dit que l'amour rend vivant, et bien le film a la même qualité, et sorti de la salle, on a qu'une seule envie : se mêler à la foule ! Ca tombe bien, aujourd'hui, c'est le printemps !
La bande-annonce ici
(notez qu'elle vous prive de certaines surprises donc à bon entendeur...)
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jeudi, 14 mars 2013
Cloud Atlas [Cinéma/Critiques]
Une oeuvre majeure qui tutoie le firmament !
Adapté du best-seller de David Mitchell "Cartographie des Nuages", le film Cloud Atlas raconte à travers plusieurs intrigues et époques connectées, les combats de différents personnages pour libérer le monde des oppressions qu'il subit et par extension devenir des êtres meilleurs...ou pas.
Casse-tête scénaristique s'il en est, cette oeuvre, portée au grand écran par les Wachowski (Matrix) et Tom Tykwer (Le Parfum), sentait tout de même très bon au vu du CV des cinéastes, de la bande-annonce et du casting. Une histoire aussi ambitieuse et rare a déjà le mérite d'exister, qui plus est, à l'échelle internationale. Il n'en demeure pas moins vrai que cela constitue un exercice risqué financièrement et artistiquement à l'heure où les blockbusters les plus décérébrés se hissent encore et toujours au sommet du box-office. (Le film a fait un flop aux USA, il devrait trouver son salut en Europe, connue pour avoir un public plus "cérébral".)
Hugo Weaving (Matrix, V pour Vendetta) fidèle aux Wachowski, incarne à l'instar de tous les acteurs plusieurs personnages (dont une femme). Ici il campe à la perfection la mauvaise conscience de Tom Hanks à l'époque la plus futuriste. Il fait partie de ceux qui de vie en vie ne parviendront pas à positiver leur karma. Bien au contraire.
Si vous êtes intéressé par ce film, intrigué par la richesse de sa thématique, mais que vous craignez d'être totalement désorienté par la complexité de sa narration et de son contenu, j'ai deux conseils à vous donner.
Le premier : n'hésitez pas à visionner avant des oeuvres telles que The Fountain, Mr Nobody ou encore Revolver pour vous familiariser avec ce genre et savoir si vous n'y êtes pas totalement allergique.
Deuxième conseil - qui peut rendre le premier optionnel : dites-vous que Cloud Atlas est de ces films qu'on regarde avant tout avec le coeur et l'âme. Tant pis si vous ne comprenez pas tout tout de suite, cela ne fera qu'augmenter l'intérêt de le revoir et d'en parler avec d'autres qui l'ont vu. Et puis, avouons que la confusion fait partie intégrante de la magie de cet exercice. La richesse de ce genre de films vient autant du film lui-même que des débats et discussions qu'ils suscite après coup. Et rappelez-vous que votre appréciation dépendra moins de votre capacité à reconstituer le puzzle que de votre sensibilité et votre expérience de la vie. Un film qui nous rappelle à quoi tend le cinéma et l'art dans l'idéal : nous éloigner de notre quotidien tout en nous inspirant les moyens de mieux le comprendre pour l'améliorer. A ce titre, il est indéniablement indispensable et fait un bien fou. Et de voir à travers les premières images du générique de fin combien les stars du film se sont impliqués dans le projet risque de vous surprendre au point de vous émouvoir, tant cela apporte de la profondeur aux thèmes de la réincarnation et du karma. L'inspiration est également un thème majeur, car elle suppose toujours l'influence des autres - à divers degrés de conscience - au coeur de nos existences rythmées par des choix moraux aux répercussions incommensurables.
Ben Wishaw (Le Parfum, Bright Star, Skyfall) est un musicien maudit dont l'inspiration sera pourtant reconnue grâce à la notion d'héritage qui unit les différentes époques et par extension les différents héros.
Il est notoire que les acteurs principaux (Tom Hanks - incroyable caméléon humain - et Halle Berry en tête) apparaissent grimés selon les intrigues/époques au point parfois d'être méconnaissables. Un des nombreux ingrédients délectables de Cloud Atlas et qui constitue tout au long du film un sympathique jeu du Qui est Qui ? dont les réponses ne viendront donc qu'à la fin. Autant vous dire que même si vous êtes physionomiste, il y a de fortes chances que plus d'un personnage échappe à votre acuité visuelle. Autre élément ludique : traduire le patois primitif utilisé par Tom Hanks et Halle Berry pour communiquer dans un futur lointain, aussi amusant que touchant.
Tout est connecté comme l'annonce si bien l'accroche de l'affiche. Les protagonistes, leurs combats pour la liberté et la vérité. Mais c'est aussi vrai d'un point de vue technique et artistique : interprétation, scénario, décors, maquillages, effets spéciaux. Aucun de ces éléments n'est mis plus en avant que les autres tout en étant très bien exploité. Dans Cloud Atlas, c'est l'histoire avant tout qui est privilégiée, une histoire dont la structure particulière ne diminue en rien la puissance, bien au contraire, le montage étant un modèle de fluidité. Le budget conséquent alloué aux trois réalisateurs est ici intelligemment mis au service du sujet. Les six intrigues n'auront sans doute pas le même intérêt pour chaque spectateur, chacune possédant sa propre dynamique et certaines étant naturellement plus immersives. De même que certains maquillages - trop poussifs - ne feront pas l'unanimité. Mais voir s'entrecroiser l'espace de près de trois heures (qu'on ne voit guère passer) un polar politique des 70's, une fresque historique, une chronique dramatique, un film de S-F, une fable post-apocalyptique et une comédie loufoque est un pur fantasme de cinéphile qu'il serait fou de vouloir bouder surtout quand chaque genre est transcendé et donne du sens à tous les autres.
L'époque la plus futuriste est aussi l'une des plus passionnantes grâce à l'univers à la fois primitif et hyper-technologique, au tandem d'acteurs et au langage utilisé par le peuple de Tom Hanks.
Si vous avez perdu la foi et l'espoir dans votre lutte personnelle pour vous changer et/ou changer le monde, allez d'urgence voir ce film. Si vous vous sentez assez fort pour déplacer des montagnes, allez le voir quand même, vos convictions n'en seront de toutes façons que plus inébranlables.
Pour paraphraser une réplique majeure du film, Cloud Atlas n'est peut-être qu'une "petite" éclaircie dans le ciel pas toujours bleu du 7ème art. Mais après tout, un beau ciel bleu est fait d'une multitude d'éclaircies, non ?
Pour la petite histoire, c'est de Natalie Portman qu'est née en quelque sorte l'idée de cette adaptation. Elle lisait le roman sur le tournage de V pour Vendetta dont les Wachowski étaient producteurs. Il n'a pas fallu longtemps pour qu'ils découvrent à leur tour son contenu et en tombent amoureux. La force de l'inspiration et de l'influence où quand la réalité rejoint la fiction. Vous ne serez donc pas/plus étonnés de retrouver dans les remerciements du générique le nom de l'actrice malgré son absence dans le film.
Si vous avez aimé Cloud Atlas, peut-être aimerez-vous plus particulièrement deux de mes histoires. La première, L'Eternité contre le Néant, m'a été inspirée directement par les passionnantes théories de Philip K. Dick.
La seconde, Le Combat du Papillon, est un miroir de ma spiritualité, l'oeuvre que je place naturellement au-dessus de toutes mes autres par sa portée et sa thématique et je ne vois pas de hasard dans le fait que par leur contenu et/ou leur construction, ces deux récits soient fortement parentés à Cloud Atlas. Vous comprendrez alors vous-mêmes plus facilement mon admiration pour ce film unique en son genre.
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mercredi, 13 mars 2013
Les Petits Mouchoirs [Cinéma/Critiques]
Après le très réussi et acclamé Ne le dis à Personne, Guillaume Canet revenait devant la caméra avec un film choral sur l'amitié.
Après que l'un de leurs amis ait eu un grave accident de la route, une bande de potes décide malgré tout de partir en vacances comme à l'accoutumée, pour le meilleur et aussi pour le pire...
Au début, avouons-le, le film fait un peu peur. On y voit plusieurs acteurs jouer des personnages qu'on leur a toujours plus ou moins associé. Une facilité qui déçoit de prime abord. Et puis au rythme des conversations, des activités sportives et ludiques, des coups de gueule et des éclats de rire, on se surprend à faire partie de cette joyeuse bande dont les membres sont tous à des degrés divers des écorchés de la vie. Et c'est alors que le film commence à dévoiler toute sa force. Les personnages gagnent progressivement en épaisseur et en complexité cassant l'image initiale (et disons-le simpliste) qu'on pouvait avoir d'eux. Ils en deviennent alors plus humains et attachants et leur conflit intérieur nous émeut fatalement. Car tous, en effet, ont des secrets qu'ils arrivent à garder, bon gré mal gré, quitte à se mentir à eux-mêmes. Ces vacances, qui s'annonçaient dépaysantes, se transforment alors progressivement en confessionnal improvisé. Mais ne vous méprenez pas, le film est une comédie dramatique et à ce titre il réserve aussi des moments extrêmement drôles d'autant qu'on ne les voit pas forcément venir. Et c'est aussi ça la qualité de ces petits mouchoirs, nous surprendre alors qu'on se laisse tranquillement bercer par le quotidien de ses protagonistes et ce qu'on pense savoir d'eux. Avec en prime une réflexion importante sur l'amitié qui, à l'instar de l'amour, doit se prendre au sérieux et être cultivée, faute de quoi elle ne fera qu'élargir les failles de chacun au lieu de les colmater.
En dépit d'une fin un peu larmoyante, mais qui assène une ultime scène bouleversante, Guillaume Canet démontre avec ce troisième long sa capacité à exprimer les sentiments humains dans toute leur ambiguité tout en offrant un divertissement digne de ce nom. On a donc qu'une seule hâte, découvrir son prochain : Blood Ties, son premier film américain avec Clive Owen, Billy Crudup Mila Kunis et Marion Cotillard, remake des Liens du Sang dans lequel il tenait le premier rôle aux côtés de François Cluzet (Ne le dis à personne, Intouchables).
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dimanche, 10 mars 2013
Love at First Sight [Vidéos/Court-Métrages]
Une histoire magnifiquement écrite et interprétée.
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samedi, 09 mars 2013
Tomb Raider [Jeux Vidéo/Critiques]
LARA TOMBE DE HAUT
Un reboot qui a fait couler beaucoup d'encre et qui fait aussi couler beaucoup de larmes et de sang. Lara Croft dévoile enfin les origines de son formidable instinct de survie et son goût prononcé pour les ruines antiques.
Il est un fait que la saga, aussi intéressante soit-elle, commençait à tourner un peu en rond. Exotisme, escalade et énigmes, oui, mais à part ça... Crystal Dynamics est alors chargée de dépoussiérer le mythe en offrant une nouvelle et surtout première aventure digne de ce nom tout en faisant table rase des anciens opus puisque cet épisode se déroule à notre époque. Un choix évidemment dicté par la volonté de séduire la nouvelle génération. Mais le jeu entier va finalement être développé dans cette intention. Pour le pire ou pour le meilleur ?
Cela dépendra évidemment du joueur que vous êtes et de votre attente. Car il est indéniable que ce Tomb Raider joue la carte du grand spectacle façon Hollywood. Le hic, c'est que ce n'est pas la meilleure face d'Hollywood, plutôt celle qui emploie sans vergogne les grosses ficelles, les clichés, les personnages insipides et l'histoire qui se veut riche et passionnante, mais qui au final ne fait que mixer des ingrédients venus de toutes les séries B (Z ?).
Voilà une image qui résume parfaitement ce Tomb Raider tant vous la verrez au cours du jeu, jusqu'à l'écoeurement ! Le mot Tomb de Tomb Raider trouve ici un nouveau sens puisque Lara passe son temps à chuter.
Lara et Tomb Raider méritaient évidemment un meilleur traitement. On se lasse très vite de voir l'héroïne glisser, tomber de plus en plus haut, se faire mal, se soigner, se faire capturer, s'échapper. Un mauvais feuilleton aux rebondissements risibles au début, mais vite irritants tant ils sont répétitifs et prévisibles. Beaucoup trop de personnages viennent polluer l'aventure, qu'ils soient alliés ou ennemis, personnages qui n'ont même pas l'excuse d'être charismatiques. La solitude de Lara n'est donc décidément plus au goût du jour.
Car Lara lâchée seule sur une île déserte, découvrant sa nature, son destin, on y croyait pourtant énormément. La digne naissance d'une icône est hélas abandonnée au profit des nouveaux standards du marché. Si le personnage bénéficie d'une animation très convaincante et se prend rapidement en main et avec plaisir tout le long du jeu, si les environnements ont bénéficié d'un soin évident afin de rendre l'immersion totale, on peine à ressentir la moindre émotion et l'identification avec le personnage ne se fait pas faute de subtilités et de profondeur. Les dialogues sont basiques au possible et Lara débite parfois son texte sans le ton approprié. Ce n'est pas un jeu fait autour de Tomb Raider, mais un Tomb Raider qui a été fait pour un certain type de jeu et de joueurs, où l'exigence est clairement passée à la trappe.
Si cette scène vous a fortement rappelé Le Monde Perdu de Spielberg, dites-vous que c'est normal. Car si Lara Croft est une pilleuse de tombes accomplie, le studio Crystal Dynamics, lui, est passé maître dans l'art de piller le 7ème art, avec une préférence pour les poncifs les plus usités.
RAIDERS OF THE LOST ARC
On apprécie quand même de pouvoir explorer comme on le veut les zones découvertes et d'y revenir à loisir. On apprécie aussi l'arc très polyvalent et le gameplay dans son ensemble si on exclut une roulade maladroite (puisqu'en deux temps), une furtivité scriptée et des QTE pas forcément trop nombreux, mais nuisibles quand même au plaisir de jeu, certains, comme ceux avec les loups, semblant tout droit sortis d'Assassin's Creed III. On s'étonne de voir un gameplay assisté parfois tellement qu'on croirait le jeu destiné aux plus jeunes alors qu'à d'autres moments une difficulté exacerbée vient nous surprendre sans qu'on comprenne pourquoi. Sans oublier la violence (gratuite) de certaines scènes qui le réserve évidemment à un public adulte. Difficile de comprendre ce qu'ont voulu faire les développeurs, et tout aussi difficile de défendre leur vision pour le moins bancale.
On ne trouvera finalement de réel plaisir qu'une fois le scénario bouclé, en revenant dans chaque zone débloquée pour explorer minutieusement le moindre recoin à la recherche des nombreux items, défis et quelques tombes secrètes, en utilisant pour ce faire les armes et outils upgradés au maximum. Alors seulement, le jeu retrouve une seconde vie et le joueur l'essence de la saga. En effet, une fois la narration laborieuse relayée au second plan, le mode libre nous fait vivre les vraies sensations, avec une Lara Croft enfin seule face à un level design fouillé et parfois tortueux à souhait (Les Bidonvilles, La Plage). L'aspect contemplatif reprend le dessus et avec lui le sentiment qui nous étreignait dans les anciens opus. Une façon comme une autre de renouer avec l'esprit Tomb Raider autrement sacrifié sur l'autel de la modernité et aussi et surtout du mercantilisme.
Faute d'avoir su trouver l'inspiration véritable, le studio a pondu un jeu d'action/aventure répondant abusivement aux nouveaux critères en vigueur, mais assurément pas l'écrin qu'on était en droit d'attendre et d'espérer pour le retour et surtout la naissance de l'aventurière. Et ce n'est pas quelques clins d'oeil plutôt vains qui suffisent à apporter la symbolique et les références qui manquent cruellement au titre pour mériter son appartenance à la série. Au final un baptême du feu aux allures de cruelle immolation. Reste la possibilité avec de la patience et de la volonté de découvrir sous ce vernis rébarbatif, un autre jeu beaucoup plus intéressant, une fois le monde semi-ouvert poussé dans ses retranchements.
Sinon on pourra toujours se consoler en rejouant à Far Cry 3 qui, pour le coup, aurait été un meilleur modèle pour Tomb Raider (comme par exemple offrir de vraies récompenses) qu'un mix de Uncharted et Gears of War.
A noter que pour couronner le tout, Microsoft n'a même pas été fichu d'intégrer la version originale du jeu comme sur PS3 que ce soit à la sortie ou via une mise à jour gratuite. Par contre les packs payants, ça, y en a !
La mémorable séquence d'intro de Tomb Raider Underworld qui illustre parfaitement ce que Crystal Dynamics a fait de l'esprit Tomb Raider avec ce reboot : un sabotage !
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vendredi, 08 mars 2013
Aux Bords de Loire [Photos]
L'entrée secrète d'un souterrain menant à un fabuleux trésor...ou pas
Les corbeaux aussi aiment la randonnée
La Cathédrale dans une atmosphère légèrement londonienne
LA PHOTO BONUS
On comprend pourquoi les pirates ont déserté Tours, vu la taille des bateaux !
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mercredi, 06 mars 2013
TV Lobotomie-La Vérité Scientifique [Société]
Avec beaucoup d'humour, Michel Desmurget, auteur d'un livre sur le même sujet, démontre l'impact de la télévision sur nos comportements. A noter que pour des problèmes de droits, les extraits devant illustrer ses propos ne sont pas visibles. Son analyse n'en demeure pas moins percutante.
Merci à Jo pour le lien !
En Lien
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Au Coeur de Tours [Photos]
Depuis le temps que j'habite Tours, ma ville d'adoption, je me devais bien de lui rendre un petit hommage. Je me mets tout juste à la photo, donc vous me pardonnerez les maladresses et les facilités dans lesquels tombe tout novice en la matière. J'ai recherché avant tout à faire des cadrages intéressants ou de belles compositions avec un joli éventail de couleurs. En espérant que sur le lot, quelques-unes déclenchent quand même une petite émotion (dit mon âme d'artiste).
Détail de l'entrée du Théâtre
Une photo que j'aime particulièrement. C'est la Cathédrale de Tours et pourtant avec l'angle choisi et la végétation imposante qui l'encadre, on jurerait presque un temple indonésien se dressant en pleine jungle. Je trouve l'effet saisissant.
Vue plongeante de la Cathédrale
C'est vide, c'est simple, mais bah, que voulez-vous, la nature a pas forcément besoin de plus pour nous plaire !
Le bord de Loire et ses couleurs hautement apaisantes.
La Loire
La Loire, encore et toujours
Ce genre de plan, c'est sûr, ça fait cliché, mais bon, vu que c'est de la photo, c'est un peu normal (lol)
Voilà clairement le genre de clichés que j'aime faire, où la palette de couleurs est telle que la photo s'impose d'elle-même, un peu comme un tableau.
C'est marrant comme ce genre de plan est facile à trouver dès qu'on commence la photo !
LA PHOTO BONUS
Je soupçonne fortement celui ou celle qui a écrit cela de vouloir figurer sur tous les blogs francophones. En même temps, ce n'est pas moi qui ai envie de briser son rêve !
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