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mardi, 28 mars 2017

GoT : Video Tributes

J'ai le plaisir de vous faire partager deux nouveaux montages confectionnés par ma chère et tendre. Entre émotion et action épique, on est servi ! 

 

Montages

Cersei : The Dark Prophecy

Jorah Mormont : Anything for Her

Daenerys and Drogon : Locking my Soul

Brienne of Tarth : Not A Lady, Not A Knight

 Sandor Clegane : It's the world that's awful

Fanfics

Chien !

La Cicatrice

Loin de la Lumière

Les Enfants Maudits

La Nouvelle Peur de Sandor

Le Loup, le Cerf et le Sanglier

Sandor Clegane, l'homme brisé

 Illustrations

The Dragon Queen

The Hound/Le Limier

Critiques

Game of Thrones Saison 1

Game of Thrones Saison 2

Game of Thrones Saisons 3 & 4

Game of Thrones Saison 5

Game of Thrones Saison 6

 

 

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vendredi, 24 mars 2017

Oblivion [Jeux Vidéo/Critiques]

http://image.jeuxvideo.com/images/x3/e/s/es4ox30f.jpg

Un Voyage Toujours Inattendu

Successeur de Morrowind, Oblivion permettait aux joueurs épris de liberté et d'exploration de continuer à sillonner Tamriel cette fois dans Cyrodiil, le titre Oblivion se référant non pas à une province de Tamriel comme c'est le cas la plupart du temps, mais aux dimensions gouvernées par les Daedras, votre rôle en tant qu'élu (oui pour changer) consistant à terme à refermer une par une toutes les portes. Une étape de longue haleine qui demeure le gros point faible du titre à mes yeux de par sa répétitivité (Dragon Age Inquisition a d'ailleurs repris la formule d'une certaine façon avec la fermeture des failles). 

Heureusement le final pour le moins spectaculaire et titanesque nous laisse un bon souvenir de la quête principale.

Mais bien évidemment, le scénario d'Oblivion, comme dans tous les Elder Scrolls, n'est que la partie émergée de l'iceberg.

https://upload.wikimedia.org/wikipedia/en/d/d9/Standard_inventory_interface,_Oblivion_2006-12-27.jpg

On peut visualiser intégralement son personnage dans les menus, c'est une bonne chose car en cours de jeu, la manoeuvre pour y parvenir est un peu trop délicate. On regrette de ne pouvoir courir, défaut que Fallout 3 ne corrigera pas, d'autant que l'absorption de nourriture influence directement la fatigue. Pour compenser, la compétence Athlétisme une fois bien augmentée (ce qui se fait vite) nous permet de faire des bonds sans dommage. Pratique, mais adieu le réalisme ! 

Le jeu foisonne de quêtes, de lieux, d'objets uniques et de personnages qui sont autant de points d'intérêt pour le joueur totalement libre de s'y attarder ou pas et au moment qu'il le souhaitera.

Certaines quêtes sont réellement surprenantes dans leur apparition comme dans leur déroulement et évitent bien souvent le poncif du "Va me cherche ça" "Tue-moi celui-ci" bien trop répandu au sein des RPG même encore aujourd'hui et lorsqu'elles le font, l'intrigue qui sert de cadre est suffisamment travaillée pour qu'on ne voit pas cela comme une facilité.

Et puis il y a les Guildes qui proposent chacune des missions, une progression et une intrigue spécifiques soignées qui ont fait la réputation du jeu en matière de roleplay (ce que Skyrim n'a pas réussi à réitérer).

La première chose qui frappe quand on rejoue à ce quatrième épisode de la série c'est sa capacité à nous transporter dans un monde médiéval fantastique crédible et envoûtant (les thèmes musicaux sont de toute beauté, ça aide !) Oblivion vieillit bien, pour moi c'est indéniable. Pas pour tout, bien sûr, mais d'une manière générale. Il conserve sa beauté formelle grâce à des couleurs chatoyantes très agréables à l'oeil et des textures particulièrement propres que n'aura pas su hélas conserver Skyrim (qui est beau lui aussi, malgré cela, mais d'une autre façon).

http://www.mobygames.com/images/shots/l/157953-the-elder-scrolls-iv-oblivion-windows-screenshot-view-of-the.jpg

Je ne me lasse pas de cette vue (Tout comme je ne me lasse pas de contempler Solitude dans Skyrim !). La Cité Impériale est divisée en plusieurs quartiers assez vastes, chacun avec ses points d'intérêt et constitue à elle seule un gros morceau du jeu.

Une végétation abondante nous autorise des balades en forêt ou dans des prairies extrêmement savoureuses avec à l'horizon une vue imprenable sur la Tour de l'Or Blanc de la Cité Impériale. Ajoutez à cela un cycle jour/nuit convaincant qui habille les paysages d'ambiances tour à tour apaisantes, mystérieuses ou inquiétantes, mais toujours aptes à nous dépayser. Sans oublier la pluie, très bien rendue (mieux que dans Skyrim !) et un ciel qu'on se plait à contempler de par son réalisme saisissant (oui j'adore regarder le ciel dans les mondes ouverts comme IRL d'ailleurs).

En arrivant à Bruma, on apprécie un paysage plus nordique (annonçant la proximité de Bordeciel) avec parfois quelques flocons de neige pour nous accueillir, dommage que la texture des montagnes fait perdre de sa superbe à cette région.

En arrivant vers Leyawin, on note que les limites du monde ouvert sont mal implantées car trop proches de la ville qui semble posée littéralement au bout d'un couloir étroit alors que le jeu nous avait jusque-là donné l'impression d'être très bien agencé. Ceci dit, des jeux plus récents comme Far Cry 3 et même The Witcher 3 ont démontré que c'était un problème malheureusement toujours d'actualité.

Dommage aussi que nos voyages soient rythmés par des zones de chargement, des ralentissements et mini-freezes réguliers, mais heureusement on finit par s'y faire. Avec Two Worlds, on a connu pire.

Le rendu de l'eau était déjà étonnant dans Morrowind. Dans sa suite, il est toujours de bonne facture. Sous l'eau, on peut combattre avec une arme (pas avec un sort), mais pour ce qui est d'avoir une bonne vision, on repassera. Ce défaut existait également sur la toute première version de Skyrim et a été ensuite corrigé via un patch.

Si les animations des personnages se révèlent rigides, les combats n'en sont pas moins dynamiques grâce notamment à de bonnes sensations au niveau du corps à corps (les coups dans le bouclier avec les vibrations de la manette et le recul, ça fait toujours son petit effet !)

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On peut gagner de l'influence sur chaque PNJ via un mini-jeu qu'on aurait aimé plus lucratif en terme d'informations obtenues compte tenu de la patience qu'il requiert. Heureusement, pas besoin d'en passer par là pour goûter aux joies de la négociation avant d'acheter de l'équipement. Si votre note de Personnalité est importante, cela influencera les comportements des PNJ. Ils pourront par exemple fermer les yeux si vous leur dérobez quelque chose, une bonne chose étant donné qu'ils s'en rendent compte même s'ils sont physiquement incapables de vous voir.

Il y a les visages des personnages d'une qualité inégale, mais certains sont d'un réalisme bluffant qui nous frappe par la finesse des traits. Certaines restrictions ont cependant tendance à saboter le caractère unique de chaque PNJ comme l'absence de barbes et moustaches pour les hommes et le nombre de voix très limitées en français (une voix par race et par sexe en gros dont celle du très prolifique, mais désormais regretté Marc Alfos qui interprète entre autres le marchand Thoronir).  Par ailleurs, l'adaptation française comporte un certain nombre d'erreurs telles que des phrases non traduites, des phrases qui ne s'affichent pas entièrement dans la boite de dialogues ou encore des anachronismes de langage (hold-up, à la revoyure).

Et puis il y a l'aspect Roleplay assez présent dès le début grâce à la possibilité de choisir une classe parmi une liste conséquente et même carrément de créer sa propre classe.

http://www.gamersonlinux.com/forum/attachments/oblivion97-jpg.9030/

Dommage que les donjons soient aussi génériques et le fait qu'ils soient labyrinthiques ne fait que mettre en évidence ce défaut. Un jeu de lumières soigné ainsi que la promesse de dénicher quelque objet précieux sauvent un peu l'intérêt, mais on aura vite fait de limiter leur exploration voire de s'en passer surtout qu'il n'y a aucun raccourci pour nous ramener à l'entrée une fois qu'on a traversé tous les niveaux. Chose qui changera bien heureusement avec Skyrim qui saura mieux varier les plaisirs avec un matériau commun à tous les souterrains.

On regrette que le vampirisme soit aussi facile à contracter que compliqué à soigner (et un perso niveau 8 abandonné, un !)

Les menus sont plutôt bien agencés une fois qu'on s'est adapté, mais la navigation sur la carte manque cruellement de souplesse et il est fâcheux qu'on ne puisse en visualiser qu'une maigre portion à la fois.

L'on est très heureux de retrouver des raccourcis avec les flèches directionnelles pour changer d'équipement en un clin d'oeil. Quasiment tout peut être ainsi équipé ou consulté sans passer par l'inventaire. On peut même accéder carrément à certains menus plus rapidement comme celui de la réparation ou de l'alchimie, il suffit pour cela de mettre un marteau et un alambic en raccourci. Si on reste appuyé sur une flèche, le menu des raccourcis apparaît en intégralité comme un menu radial d'aujourd'hui. C'est quand même navrant de devoir retourner sur un jeu de 2006 pour découvrir un système de raccourcis aussi complet ! 

Les commandes sont modifiables, mais on déplore que l'ATH ne puisse pas être paramétré afin d'être plus discret. Les amateurs de tirs à l'arc à l'oeil devront accepter l'icône de furtivité permanente (l'oeil) lorsqu'ils s'accroupissent et qui accidentellement fait office de viseur et leur mâche le travail sans qu'ils le souhaitent.

http://onosendai.free.fr/oblivion_10.jpg

Les 9 Divins sont magnifiquement représentés par des vitraux à leur effigie c'est pourquoi j'aime m'attarder dans les chapelles au-delà du fait qu'elles permettent de soigner les maladies.

 

 

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mardi, 21 mars 2017

Split [Cinéma/Critiques]

http://fr.web.img6.acsta.net/pictures/16/11/22/08/38/040062.jpg

Shyamalan revient enfin en force !

Après La Jeune Fille de l'Eau et Phénomènes qui n'avaient pas su nous convaincre malgré de  bonnes idées et une tentative louable de se renouveler, Shyamalan faisait le grand écart en livrant deux commandes, une sans stars (Le Dernier Maître de l'Air), l'autre avec (After Earth avec Will Smith et son fils), mais toutes deux blindées d'héroïsme et d'effets spéciaux, et hélas toutes deux trop inégales en terme d'intérêt pour nous éblouir au-delà de quelques plans léchés.

Et pourtant on le voulait ce come-back, car en regardant en arrière le moins qu'on puisse dire c'est que le cinéaste a laissé une empreinte indélébile : Sixième Sens, Incassable, Le Village, Signes. Des oeuvres marquantes à plus d'un titre où son génie et sa virtuosité tant du point de vue de la narration que de la mise en scène ont transcendé les multiples genres auxquels il s'est frotté, même si parfois le mélange a crée des frustrations longues à digérer (En allant voir Signs, j'étais convaincu de voir un hommage vibrant au Rencontres du 3ème type de Spielberg).

Se retrouvant dans une impasse, Shyamalan n'a qu'une seule issue : revenir à l'essentiel, à ce qui fait sa force. Avec The Visit, il réduit tout à son strict minimum hormis la force d'une intrigue qui se laisse découvrir jusqu'à son surprenant épilogue, ceci couplé à l'usage du Found Footage, histoire de nous rappeler qu'il peut tout maîtriser question procédé.

On reprend un peu espoir d'autant que le film bien que très modeste à tous points de vue sort de l'ombre grâce à un excellent bouche à oreille.

Lorsque Split sort en salles avec son slogan très accrocheur, le nom du réalisateur et celui de l'acteur ayant la lourde charge de crédibiliser le dit slogan, on a les yeux qui pétillent, on se laisse rêver enfin au retour du génie, le vrai !

Tout semble réuni pour relancer la machine à chef d'oeuvre.

http://bloggfiler.no/martheborge.blogg.no/images/splitw-1131105-10-1503310286282.jpg

Les cheveux du Professeur Xavier seraient-ils en train de repousser ? Blague à part, ces deux acteurs donnent le meilleur d'eux-mêmes et nul doute que leur prestation respective leur ouvrira davantage de portes.

Split se dresse-t-il donc à la hauteur des titres sus-nommés ? Difficile pour moi de répondre tant il joue à la fois dans la même catégorie et tant il diffère aussi. Mais le cinéaste n'a pas renié ses préoccupations, loin de là. Il est toujours question de dualité (et même plus du coup !), de la part d'ombre et de lumière de l'être humain, de sa capacité à se dépasser comme il peut dans un monde naturellement hostile.

Car au-delà de l'aspect spectaculaire que James McAvoy (Wanted, X-Men : Le Commencement, X-Men : Apocalypse) parvient à crédibiliser de manière remarquable (certaines fois plus que d'autres), il y a une évidente volonté de rappeler les traumatismes de l'enfance qui conditionnent nombre d'existences, conférant aux être humains leurs plus grandes faiblesses et éventuellement leurs plus grandes forces (mais à quel prix !), mais alimentant toujours trop la monstruosité de ce monde en souffrance, construisant un cercle vicieux (les traumatisés donnant naissance à d'autre traumatisés qui eux-même seront tentés de faire souffrir leur entourage).

Ceci dit, on est également fasciné par la nature de la pathologie (le personnage de Kevin est inspiré d'un cas réel de personnalités multiples) qui bien qu'elle résulte de souffrances qu'on ne souhaite à personne démontre parallèlement des capacités incroyables du cerveau humain (chaque personnalité a des talents bien définis que n'ont pas les autres et qui confinent parfois au génie et à l'exceptionnel, même si le film se concentre plus sur la psychologie pure).

Dans le fond, le film est donc riche de thématiques, de lignes narratives (celle de Kevin, celle de l'héroïne et même celle de la thérapeute) qui finissent par s'entrecouper de manière pertinente comme autant de combats pour ramener la paix en soi ou chez les autres.

J'avoue que l'émotion, le suspens ont perdu de leur saveur trop rapidement à mon goût même (surtout) aux moments clés, mais comme j'ai de plus en plus de mal à rester deux heures d'affilée devant un film, je ne peux pas tout incomber à la réalisation bien que je l'avoue la mise en scène reste trop sagement dans les clous, surtout quand on connaît le talent du réalisateur en ce domaine.

Je me sentais donc un peu déçu malgré l'indéniable originalité du sujet (en plus le slogan promet trop, on ne voit vraiment que quelques personnalités sur les 23) et puis en l'espace de quelques minutes (les dernières), sans m'avertir, Shyamalan m'envoie une série de droites (révélations, connexions entre les personnages) qui m'estomaquent. Bon ok, c'est vrai que c'est un sacré bon film. Et puis, comme s'il avait deviné d'avance l'exigence forcenée de certains spectateurs (au hasard, moi !) il balance un uppercut final dévastateur : son génie éclate d'une façon totalement inattendue, redéfinissant complètement tout ce que je viens de voir.

Et s'il y a bien quelque chose capable de me faire complètement changer mon appréciation sur un film, c'est bien sa fin ! Et de ce côté j'ai été royalement servi, car le frisson tant espéré je l'ai eu et sous une forme totalement insoupçonnée ! Je ne peux en dire plus, ce serait criminel. Mais si vous aimez Shyamalan et ses oeuvres passées et que vous avez envie d'être surpris là où vous ne vous attendiez pas, foncez ! Y a du 9 dans le 7ème art, je vous dis !!!

 

 Si vous avez aimé, vous aimerez peut-être :

Le Meilleur de Tous.jpg

La Murène.jpg

 

 

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jeudi, 16 mars 2017

Romstation : Les Joies de la Rétro [Jeux Vidéo]

Romstation

Les Joies de la Rétro

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Ayant de plus en plus de mal à dénicher de nouveaux jeux intéressants sur 360 (depuis le temps que j'y suis) comme sur PS4 (faute de moyens et/ou d'intérêt pour les dernières productions), mais toujours assoiffé de jeux et de jeux inédits qui plus est, je me retrouvais un peu le bec dans l'eau.

Les jeux rétro, les émulateurs je connaissais, les premiers pour y avoir goûté durant mon adolescence (à l'époque où ils n'étaient donc pas rétro), les seconds par l'entremise des réseaux d'addicts aux anciennes consoles. Mais de là à franchir le pas...

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Ma mère est revenue un soir après son boulot, avec ça dans les mains, sans m'avoir prévenu, alors que je bavais devant le jeu depuis des mois, imaginez ma réaction...

C'est pourtant ce qui vient de se produire grâce à Ced_131_06, (que je remercie énormément pour ses conseils et sa patience), un joueur qui a eu la riche idée de me faire connaître tout d'abord ShareFactory pour personnaliser davantage le thème d'interface de la PS4 (nouveauté très appréciable de la dernière MAJ) en combinant plusieurs images et de fil en aiguille de m'initier donc aux joies de l'émulation avec Romstation, une sorte de Steam (Steam qui d'ailleurs reconnait la manette PS4) pour la rétro avec un aspect Twitch puisqu'il y une partie streaming et communautaire combinées.

Les avantages :

+ Un catalogue extrêmement fourni puisque étalé sur plus de vingt consoles (des 8 bits à la PS2 en passant par la mégadrive, la Super Nintendo, la Game Cube, la Game Boy et les consoles portables) proposant tous les genres possibles : RPG, Course, Beat'em all, Shoot'em up, Plateformes, Stratégie, Puzzle games,...

+ Des compléments et mises à jour de la communauté (versions enrichies, alternatives) !!!

+ 9 slots de sauvegarde par jeu qui permettent de sauvegarder à n'importe quel moment alors qu'à l'époque on devait faire la plupart des jeux d'une traite (au mieux un code par niveau).

Les inconvénients :

- Des jeux pas tous traduits en français

- Les spots de pub sur les Live (Adblock, mais qu'est-ce tu fous ?)

- Certains supports demandent un long délai d'attente pour être téléchargés (PS2) en sachant que le téléchargement échoue très souvent. Les jeux Nes, Super Nintendo et Megadrive étant téléchargés en quelques secondes je me focalise sur eux pour l'instant.

- Des émlulateurs pas toujours bien acceptés par votre PC. J'ai pour ma part des chutes de framerate catastrophiques sur Zelda : The Wind Waker (en plus de déconnexions fréquentes de la manette).

http://image.jeuxvideo.com/images/sn/l/o/lozpsn0f.jpg

Après avoir téléchargé et configuré Ds4 Windows pour connecter ma manette PS4 à mon PC, me voici donc goûtant à nouveau aux jeux de mon adolescence et découvrant enfin ceux qui m'étaient passés sous le nez à l'époque et que j'ai regretté d'avoir boudé. Un bon exemple de rattrapage : Zelda : A Link to the Past. J'avais pourtant la Super Nintendo, mais le jeu ne m'attirait pas assez, à l'époque l'open world et le RPG n'étaient pas synonymes pour moi de must have alors que paradoxalement j'étais un rôliste en herbe.

Pendant des années je m'en suis voulu. Alors quelle joie de pouvoir enfin réparer cette ignominie. (Et puis ça me fera patienter en attendant de pouvoir me plonger dans Breath of the Wild en l'appréciant davantage du coup).

https://r.mprd.se/media/images/34385-Legend_of_Zelda,_The_-_A_Link_to_the_Past_(USA)-15.jpg

Hormis des musiques très basiques et redondantes, le jeu a bien vieilli adoptant un style enfantin, mais très propre et plaisant à l'oeil, proposant de nombreuses animations et interactions tout en démontrant pour l'époque une technique révolutionnaire, le fameux Mode 7 capable de simuler la 3D comme lorsqu'on visionne la map du jeu. C'est d'ailleurs à ce moment là qu'on comprend que ce jeu était vachement en avance sur son temps, préfigurant les RPG de ces dernières années en terme de gameplay et de dynamique tels que Skyrim, Skyrim qui, rappelons-le  a été une source d'inspiration pour la conception de Breath of the Wild, la boucle est donc bouclée. Si côté scénario et personnages les liens entre ces deux épisodes de la saga sont sans doute nombreux, en tant que profane, j'ai déjà remarqué des possibilités identiques comme pouvoir couper les herbes hautes avec son épée. Oui déjà à l'époque les créateurs de la saga avaient le souci du détail. On s'étonne moins alors de la richesse du dernier opus.

La structure rappelle aussi fortement les Livres dont Vous être le Héros puisqu'il faudra impérativement avoir découvert les bons objets de quête pour s'approprier les suivants à la différence que dans Zelda on peut revenir sur ses pas constamment.

Une exploration totalement libre, des ennemis  et du loot, un inventaire, des donjons à explorer, des boss, des PNJ, des passages secrets, des trésors, l'évolution du perso, des décors variés, tout y est !

 

 

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mardi, 14 mars 2017

Le Mystère de la Chambre Jaune [Livres]

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Edgar Poe rencontre Conan Doyle

Découvert, dévoré devrais-je dire, durant mes années collège où je lisais comme je respirais, Le Mystère de la Chambre Jaune de Gaston Leroux a représenté pour moi l'un de mes meilleurs souvenirs littéraires.

Lisant peu voire pas de policier à l'époque, j'ai été pourtant complètement passionné par cette enquête en forme de véritable casse-tête digne de Sherlock Holmes. On retrouve d'ailleurs à intervalles réguliers une ambiance proche de celle de l'oeuvre de Conan Doyle notamment du côté du Chien des Baskerville : la campagne pour cadre, un animal nocturne inquiétant (ici la Bête à Bon Dieu), un rapport entre le héros/enquêteur Rouletabille et son complice/narrateur rappelant beaucoup la relation Holmes/Watson et une forme de thriller glaçant parfois à la lisière du fantastique.

Ayant redécouvert depuis peu le plaisir de la lecture, je me faisais une joie de replonger dans ce mystère où le célèbre reporter tente d'expliquer l'inexplicable plus d'une fois par la seule force de la raison à commencer par la disparition de l'agresseur de Mlle Stangerson, fille d'un illustre scientifique, juste après les faits alors que toutes les issues de la fameuse chambre étaient closes.

Si la lecture en elle-même a été loin d'être désagréable, tous les ingrédients sont là pour nous happer jusqu'au bout, j'avoue avoir été quand même déçu de l'effet qu'elle a eu sur moi ou plus exactement de l'absence d'effet.

Je me souvenais de pas mal de choses, de l'identité de l'assassin, certes, mais malgré cela j'étais convaincu que le livre allait me réserver des surprises oubliées ou me redonner le frisson pour une raison ou pour une autre.

Il faut croire que l'histoire m'avait vraiment plu car moi qui n'ai pas beaucoup de mémoire j'ai quasiment tout retenu. La première lecture est parfois la meilleure surtout lorsqu'il s'agit d'une énigme dont on découvre progressivement toute l'originalité et les subtilités. Et dans ce mystère-là il y en a et pas qu'un peu.

Mais ceci étant, ce n'est pas vraiment cela qui m'a gêné. Car me faisant naturellement un film dans ma tête - la dernière adaptation ne m'ayant guère comblé notamment à cause du casting et du ton trop léger - j'ai fini par prendre plus de plaisir à imaginer les personnages prendre une nouvelle fois vie sur grand écran en un mélange réussi de blockbuster américain et de drame français.

Premier constat qui m'a chiffonné, il ne se passe réellement pas grand-chose si on excepte les épisodes presque successifs de la galerie inexplicable et du cadavre incroyable, les cinquante dernières pages servant de réponse et de conclusion (ouverte). Mais encore une fois, ces deux évènements étant suffisamment bien appuyés par leur caractère sensationnel voire surnaturel, ils pourront sans nul doute contenter la soif de sensations d'une première lecture.

Et j'ai eu beau connaître les coulisses et les révélations de cet imbroglio, trop de choses à la lumière de cette nouvelle lecture m'ont paru un tantinet tirées par les cheveux, voire inexpliquées comme le premier coup de feu qui n'a été entendu par personne alors que le Professeur Stangerson n'est pas  si loin de sa fille de surcroît. Gaston Leroux détaille tout, mais oublie complètement ce détail. C'est peut-être ça le plus incroyable dans l'histoire !

J'ai aussi beaucoup regretté que Ballmeyer qui soi-disant est un grand criminel digne d'Arsène Lupin (en moins gentleman) ne soit pas évoqué plus tôt dans le roman, voire dès le début par le biais d'un prologue ce qui aurait pu provoquer un impact émotionnel beaucoup plus considérable sur le lecteur quant à sa véritable identité.

Puisque les films ne se déclinent plus qu'en trilogie (au minimum) on pourrait même envisager un premier film autour d'une première confrontation entre Rouletabille et Ballmeyer, Le mystère de la Chambre Jaune pour le second opus et Le parfum de la Dame en Noir pour clore le tout.

Et de choisir enfin un jeune acteur pour incarner Rouletabille serait une riche idée puisqu'il est censé avoir dix-huit ans et que son âge, loin d'être anecdotique, est une donnée essentielle étant donné les révélations qui seront faites plus tard sur les origines du reporter et ses liens avec d'autres personnages. Et de choisir une actrice américaine pour donner corps à Mathilde Stangerson, capable de s'exprimer en français et capable d'émouvoir autant par sa beauté que par la tragédie dont elle est le jouet serait également profitable à une future adaptation.

Oui malgré le génie de l'auteur et son formidable concept (à découvrir de toute urgence en dépit de cette critique bien trop assassine, je le déplore) je suis resté sur ma faim. Mais comme d'habitude mon imagination elle s'est envolée, nourrie comme de coutume par mes frustrations. De là à dire que mon imagination sabote délibérément le plaisir inhérent à chaque oeuvre pour mieux en tirer parti, il n'y a qu'un pas...

 

 

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jeudi, 09 mars 2017

Zelda : Breath of the Wild [Jeux Vidéo/Aperçus]

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Le Souffle de la Liberté

Je le dis tout de go, je n'ai pas joué à un Zelda depuis Zelda II sur Nes. Ayant migré sur d'autres consoles depuis, je ne me suis guère intéressé à la licence sinon par l'entremise de vidéos, d'articles divers. J'ai seulement regretté de n'avoir pas posé les mains et les yeux sur Zelda : A Link to the Past sorti sur SuperNes puisque j'avais cette console; Mais aurai-je apprécié le jeu à cette époque ? Le fait même que je n'y ai pas joué répond sans doute à la question.

Pourquoi alors ressentir un tel intérêt pour le dernier opus ? Parce que les développeurs ont axé le jeu sur l'exploration, la liberté, dans un monde ouvert regorgeant de possibilités, ce qui est exactement ce que je recherche dans un jeu vidéo aujourd'hui.

S'il y a bien un scénario dans Breath of The Wild, il n'est pas envahissant, on y vient et on en repart quand on veut, un peu moins sur le Plateau du Prélude qui sert de zone de tutoriel, mais là encore on reste très libre de s'en détacher aussi. Ce qui est parfait pour moi qui ne pense avant tout qu'à faire ma propre histoire.

Actuellement je suis les vidéos d'un youtuber fan absolu de la série ce qui permet de découvrir le jeu en même temps que lui (il l'a attendu pendant des années). Mais en découvrant les mécaniques du jeu, je réalise que mon propre enthousiasme n'a pas grand-chose à envier au sien tant le jeu propose ce que je rêvais de pouvoir faire dans un open world.

Pour commencer on peut escalader n'importe quelle paroi. Il suffit de surveiller sa jauge d'endurance pour connaître l'état de nos forces. On peut donc tout escalader, mais l'escalade à elle seule représente un mini-jeu en soi puisqu'elle nécessite parfois une énergie qu'on ne possèdera pas de prime abord ou qui demandera de trouver des points où se poser pour récupérer avant de poursuivre son ascension. Simple, mais diablement efficace.  J'en profite pour préciser que ladite jauge est pour moi le seul véritable bémol puisque trop visible en vert flashy au milieu de l'écran. Je comprends son importance, mais sa position gâche l'immersion à mes yeux.

On peut interagir avec l'environnement d'une manière rarement exploitée. Je n'avais pas vu ça depuis Dragon's Dogma (Capcom) qui permettait d'ailleurs lui aussi d'escalader pas mal d'éléments. Les éditeurs japonais seraient-ils finalement les plus à mêmes d'offrir un open world digne de ce nom ? Je ne peux que le constater.

https://lh6.googleusercontent.com/i34QUbodvtY26FCmcbbLPaKLV00Hl7_7lNf5n5z5Br-SxgQK0uMDEN3Ba51v4l4uWPn5rPyyDqq4YNXTHgDgboAcetDSGgCjRcFLNgAZLqnQHwr0LPfxDw91CCIFj5WoRNIe3ROh

La tablette Sheikah va dès le début devenir indissociable de Link et trouver son prolongement en direction du joueur dans le fait de pouvoir visualiser la carte du jeu, l'une de ses nombreuses fonctions.

http://static.mnium.org/images/contenu/actus/JeuxVideo/zelda_breath_of_the_wild/Guides/agrandir_inventaire_8.jpg

Le monde est immense et l'exploration encouragée et récompensée comme il se doit où qu'on aille. Les développeurs ont eu la bonne idée (enfin !!!) de permettre au joueur de placer ses propres balises (choix d'icônes) pour mémoriser certains endroits dignes de son intérêt (c'était aussi possible dans Dragon's Dogma, mais en nombre plus limité). Il peut même les placer en temps réel dans le paysage environnant en se servant de la fonction jumelles de la tablette ! Lorsque l'on meurt, une croix rouge indique l'emplacement de notre infortune. Pour ne pas oublier de se venger, sans doute !

http://assets1.ignimgs.com/thumbs/userUploaded/2017/1/13/legend-of-zelda-breath-of-the-wild-en-pleine-action-hpj9_large.jpg

http://www.wiki-dragon.com/img/actualites/principale/165-link-s-envole-dans-zelda-breath-of-the-wild.jpg

Breath of the Wild est une ode à la contemplation et au voyage, sous toutes ses formes !

https://metrouk2.files.wordpress.com/2016/06/zelda_e3_5pm_scrn063.jpg?quality=80&strip=all&strip=all

http://document.nintendo-difference.com/34420/imgs/e68aa1ab65d968344efaffd5e064e8de.jpg

Avec son aimant géant, Link peut ainsi déplacer tout objet métallique (plateformes, coffres, portes). Il peut couper des arbres (avec certaines armes) pour improviser un pont ou se servir du tronc à d'autres fins (le faire rouler sur des ennemis ?). Il peut justement grimper aux arbres (pour l'anecdote c'est cette possibilité qui a convaincu  Shigeru Miyamato d'axer le jeu sur l'exploration et la liberté de mouvements). Alors si je vous dis que Link en plus de cela peut même arrêter le temps, vous imaginez à quel point expérimenter peut vite devenir une activité addictive.

Si les armes de corps à corps semblent pouvoir faire bien des choses (on peut aussi les lancer) même les plus puissantes s'usent et finissent par se briser ce qui équilibre le jeu et motive à toujours en quérir (le modèle perdu ou un autre). 

Puisqu'on parle d'équipement, j'apprécie énormément qu'on puisse visualiser sur Link ses différentes armes et armures. Il peut porter et afficher sur lui un arc, un carquois, une arme de corps à corps et un bouclier. Ca peut paraitre anodin et pourtant cette possibilité est devenue très rare dans les RPG et Action/RPG où d'ordinaire on peut afficher au mieux deux armes et un bouclier (je parlais justement de cette tare dans mon article : Le RPG du Futur.

Link peut manger (il y a une animation dans le menu équipement),  cuisiner et consommer certaines recettes permet de vaincre le froid ou la chaleur pendant une certaine durée.

Outre la température, d'autres paramètres sont également pris en compte : le bruit et certaines vibrations (on peut ainsi déceler à distance des objets précis selon nos besoins comme des coffres), la météo, le cycle jour/nuit qui définit la nature des créatures rencontrées. J'ai ouïe dire qu'à Minuit à l'heure de La Lune de Sang, des monstres très puissants sont à l'oeuvre et qu'il n'est pas conseillé de s'y risquer sans un niveau suffisant. Sachant déjà que dès le début du jeu on peut mourir en un coup face à certaines entités. La liberté a parfois un prix...mais qu'on paye avec plaisir dans ce cas précis !

 

 

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mardi, 07 mars 2017

Jorah Mormont : Anything for her [GoT]

Un autre hommage de qualité pour un personnage qui a su nous surprendre et nous émouvoir par la force de ses sentiments et son égale détermination.

 

Montages

Cersei : The Dark Prophecy

Daenerys and Drogon : Locking my Soul

Brienne of Tarth : Not A Lady, Not A Knight

 Sandor Clegane : It's the world that's awful

Fanfics

Chien !

La Cicatrice

Loin de la Lumière

Les Enfants Maudits

La Nouvelle Peur de Sandor

Le Loup, le Cerf et le Sanglier

Sandor Clegane, l'homme brisé

 Illustrations

The Dragon Queen

The Hound/Le Limier

Critiques

Game of Thrones Saison 1

Game of Thrones Saison 2

Game of Thrones Saisons 3 & 4

Game of Thrones Saison 5

Game of Thrones Saison 6

 

 

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