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jeudi, 27 juin 2013

Superman Returns [Cinéma/Critiques]

POURQUOI LE MONDE A BESOIN DE

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Si Singer use d'emprunts très fréquents au Superman original de Donner, il n'oublie pas, et il est très important de le rappeler, d'injecter tout au long du film des détails propres à façonner sa vision qui est un prolongement direct de celle qu'il chérit et avec laquelle tout une génération a grandi. Un hommage évident, sincère, un cri du coeur qui l'a pourtant injustement condamné aux yeux du grand nombre. A l'heure où sort dans les salles Man of Steel, il est temps de réhabiliter cette oeuvre remarquable en bien des points.

Après avoir incarné le Cyclope des X-Men, James Marsden retrouve Bryan Singer pour un rôle moins tape-à-l'oeil, mais non moins important, celui du nouvel homme de Lois Lane. 

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Frank Langella est Perry White. Il a partagé l'affiche avec James Marden à deux autres reprises : dans The Box, puis dans Robot and Frank.

L'efficacité de Superman Returns tient en quelques points essentiels : la mise en scène qui sait être spectaculaire et épique quand il le faut sans tomber dans la surenchère très fréquente dans le cinéma actuel, des ajouts personnels, des détails qui assurent la cohérence et l'émotion. Comme cette magnifique scène de vol (d'amour ?) qui réunit à nouveau Lois Lane et Superman, le thème magnifique de John Williams revisité par John Ottman qui l'accompagne apportant une émotion supplémentaire. Non seulement Singer ne fait pas un copier/coller de celle du Superman de Donner, mais tout en préservant et en modernisant son caractère romantique, il en gomme les imperfections (le monologue sirupeux de Lois) comme un artiste rehausse les couleurs d'un tableau. On peut reprocher à Singer d'avoir choisi des comédiens trop jeunes pour incarner les héros, ce qui peut nuire  à la crédibilité sur un plan temporel et dans une certaine mesure à l'empathie. Mais le couple fonctionne, l'alchimie opère immédiatement et le charme de chacun - sorte de jeunesse éternelle - efface comme par magie la maladresse. Lois Lane - qui n'a jamais été aussi jolie - se déchausse (se met à nue ?) pour poser ses pieds sur ceux du kryptonien. Un geste en apparence simple, dénué d'intérêt et qui pourtant par son aspect rituel renvoie au passé commun du couple, à une intimité longtemps partagée, maintenant révolue. Tout un symbole.

Tel Atlas, Superman porte le monde sur ses épaules. Je vous parie que ce n'est pas Clark Kent qui a pris cette photo !

Symbolique est d'ailleurs ce qui définit le mieux la version de Singer réellement inspiré par son sujet. Comme cette séquence qui ouvre le film sur une vue de Krypton sur le point de disparaître accompagnée d'une réplique très emblématique de Jor-El/Marlon Brando à l'adresse de son fils ou encore cette scène majestueuse où Superman - veillant sur la Terre, son foyer, depuis l'espace - perçoit les rumeurs du monde en pleine activité. Et c'est aussi en cela que Superman Returns est si réussi et si indispensable. Il nous fait voir comme jamais le monde comme Superman, il nous met littéralement à sa place, nous faisant partager de manière inédite sa puissance, mais aussi sa souffrance. On réalise ainsi que malgré tous ses pouvoirs il est incapable d'être avec la femme qu'il aime. Il peut voir à travers les murs de sa maison, il pourrait même les démolir d'une pichenette, mais il n'en franchira pourtant jamais le seuil.

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Superman est peut-être l'Homme d'Acier, mais il est loin d'avoir un coeur de pierre

Le personnage de Lois est lui aussi très intéressant. Eprise de Superman, elle ne lui pardonne pas d'être parti faire son retour aux sources en quelque sorte. Elle comprend que son union avec Richard est une forme de résignation (elle ne veut pas se marier et refuse d'en parler dixit Jimmy Olsen). Mais pour mieux tourner la page et se venger de cet abandon cruel, elle n'hésite pas à publier un article retentissant pour clamer haut et fort "Pourquoi le monde n'a pas besoin de Superman" sous-entendu "Pourquoi je n'ai pas besoin de Superman". Elle continue d'ailleurs de se convaincre quand elle retrouve Superman sur la terrasse du Daily Planet en lui assenant qu'elle a l'habitude de voler car Richard est pilote. Evidemment, Superman va très vite lui rappeler que la comparaison est inadaptée, le vol en lui-même fera le reste.

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Le film n'aura pas de suite et pourtant il posait des bases très intéressantes quant au devenir du kryptonien et de son héritage. Kevin Spacey quant à lui incarne avec jubilation un Lex Luthor idéal, machiavélique et mégalomane à souhait ! A noter que Kate Bosworth et Kevin Spacey ont partagé l'affiche eux aussi à deux autres reprises : dans Beyond The Sea réalisé par Spacey lui-même et c'est d'ailleurs suite à leur collaboration qu'il a recommandé sa partenaire à Singer, puis ils se sont retrouvés dans l'excellent Las Vegas 21. Superman Returns a donc été le film des retrouvailles à plus d'un titre !

Contrairement à beaucoup j'estime donc énormément le Superman Returns de Bryan Singer et pas simplement parce qu'il est un brillant hommage au Superman original : il est équilibré et possède une poésie, une grâce même, qui lui est propre. Et la découverte de ses scènes coupées ne fait que me conforter dans ce sentiment, scènes que je vous invite vivement à découvrir. Qui sait, peut-être vous aideront-elles à vous forger un nouvel avis sur ce film :

BONUS

Les scènes coupées du film

 

 

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mardi, 25 juin 2013

Richard Matheson [Cinéma/Hommages]

Richard Matheson s'est éteint à l'âge de 87 ans. Auteur américain très prolifique, il a enrichi les genres du Fantastique et de la Science-Fiction (Nouvelles, Romans) avec une réelle inspiration et un talent certain. Plusieurs fois portées à l'écran avec succès, ses oeuvres ont marqué les lecteurs comme les spectateurs. Ses récits tournaient principalement autour de l'homme et de sa capacité à se remettre en question, à se réaliser, à se dépasser.

Un artiste qui aura bien vécu et qui dans le même temps nous aura beaucoup ému. Merci à lui et peut-être le retrouverons-nous, lui qui peut désormais se vanter de dire "Je suis une Légende". Ce ne sera pas aussi facile que d'ouvrir The Box, mais nous le retrouverons certainement Au-delà de nos Rêves, Quelque part dans le Temps.


 

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jeudi, 20 juin 2013

Run Boy Run par Woodkid [Vidéos/Clips]

Un autre clip somptueux en noir et blanc de cet artiste talentueux, un autre thème grandiose qu'on retrouve dans le trailer du film Insaisissables.

Woodkid s'était déjà fait connaître du grand public grâce à son titre Iron qui illustrait brillamment le trailer mémorable de Assassin's Creed Revelations.

 

 

 

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mercredi, 19 juin 2013

Man of Steel [Cinéma/Critiques]

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L'été est bien là (même si la météo l'ignore) et pour le rappeler, l'éternel cortège de blockbusters hollywoodiens entre en scène et avec lui une autre adaptation de comics. Plus précisément un reboot, puisque à l'image de The Amazing Spiderman, Man of Steel a pour but de proposer une relecture d'un mythe, sous un angle nouveau. Et le moins que l'on puisse dire c'est que c'est réussi et ce dès le prologue. La question est de savoir si vous y serez sensible, car le changement est on ne peut plus brutal.

Russel Crow est Jor-El, le père de sang de Superman

La forme tranche en effet radicalement avec les précédentes versions. On sait que celle de Bryan Singer se voulait avant tout un vibrant hommage à l'original et c'est à cause de cela qu'elle a été condamnée par beaucoup.

Cette fois, sous la houlette d'un binôme lui aussi très surprenant (Zack Snyder/Christopher Nolan, excusez du peu), on a droit à une version Space Opera de la destruction de Krypton. C'est bien simple, on se demande pendant un temps si on ne s'est pas trompé de salle et si on est pas devant le dernier Star Trek. Pourtant non, les bases sont toujours là. Le design est plus futuriste, avec vaisseaux et armures à la clé, très loin des décors épurés du Superman de Richard Donner et l'action est virevoltante et démesurée (tout à fait dans les normes actuelles), mais on retrouve heureusement les principaux fondamentaux de l'univers. Et c'est peu à peu que le scénario (très malin) de David S. Goyer (la Trilogie Batman de Nolan justement) commence à nous dévoiler ses innovations, qui, si elles ne manqueront pas d'accentuer l'aspect SF très présent tout au long du film, sauront finir par séduire les plus réfractaires à ce virage.

Car la première bonne idée de Man of Steel c'est d'avoir mixé très astucieusement les intrigues des deux premiers Superman avec Christopher Reeves. Petit rappel : au début du premier, on y voyait Jor-El (le père de Superman) condamnant un trio de criminels avec à leur tête le cruel Général Zod, ce Zod qui, lui-même, devenait avec ses fidèles complices  les méchants du deuxièmes opus, ce qui était déjà à l'époque très original comme procédé.

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Le ténébreux Michael Shannon est le Général Zod

Et bien Zod est de nouveau présent au casting de Man of Steel et pas qu'un peu. Sous les traits d'un Michael Shannon (Les Noces Rebelles) très investi, il devient plus qu'un bad guy, plus qu'un ennemi, il est la parfaite Némesis de Superman, celui par qui le mal arrivera tout autant que le destin de notre kryptonien préféré. Le final apocalyptique sera la parfaite traduction de leur antagonisme exacerbé (l'un attaché jusqu'à la mort à la préservation de Krypton, l'autre à la Terre, son nouveau foyer). Et c'est durant ce duel cataclysmique, où les buildings de Metropolis s'effondrent comme des châteaux de cartes, qu'on se dit par ailleurs que les américains ont définitivement fait leur deuil du 11 septembre et que si ce n'est pas le cas, cette (trop) longue séquence de destruction massive devrait les y aider fortement. Du point de vue du spectateur lambda, cette forme d'exutoire a beaucoup moins d'intérêt : voir un building s'écrouler c'est impressionnant, au bout d'une trentaine, euh... on ressent plus rien. De nos jours il est très facile de concevoir des apocalypses virtuelles, mais un scénar vraiment bien foutu c'est autre chose. Dans Man of Steel il y a les deux et c'est à ce titre que le film a de la valeur.

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Amy Adams (Her) incarne Lois Lane, journaliste couillue, qui suivra Superman contre vents et marées, quitte à s'attirer les foudres de Faora (Antje Traue), le bras droit de Zod.

Henry Cavill qui avait la lourde tâche d'incarner l'homme d'acier s'en sort très bien et exprime avec justesse le dilemme qui l'habite constamment. Mais le film est doublement à voir en VO, puisque le studio de doublage français a eu la fausse bonne idée de lui prêter la même voix que celle de Brandon Routh, le précédent Superman.

Après le trépidant, mais fade, Jumper, Diane Lane incarne à nouveau la mère d'un super héros.

Pour le reste, c'est plus discutable. Car le film, à cause de son trop grand emprunt à la SF que d'aucuns trouveront peut-être indigeste, renvoie régulièrement à plein de films du genre, des Chroniques de Riddick à Matrix en passant par Independance Day, la découverte des pouvoirs de Clark Kent faisant écho, elle, à celle du Matt Murdoch de Dardevil. Finalement ce sont les plus cinéphiles qui peineront davantage à trouver et à apprécier la vraie personnalité du film. Mais encore une fois, le scénario est si bien pensé qu'il parvient à faire oublier ces maladresses. Maladresses moins relatives lorsqu'elles incluent l'une des scènes les plus poignantes, la "nouvelle" mort du père adoptif de Superman (campé par un Kevin Costner  vieillissant, mais toujours imposant) dont l'émotion est plombée par une mise en scène qui manque de réalisme.

Afficher l'image d'origine

Laurence Fishburne (Matrix, Predators) campe Perry White, l'autoritaire patron du Daily Planet. Il peut se le permettre puisqu'il a été le boss de Tom Cruise dans Mission Impossible 3.

Au final, on ressent clairement l'influence et le talent de Zack Snyder (Sucker Punch) et de Christopher Nolan (Inception, The Dark Knight Rises) dans cette réinterprétation du personnage iconique de DC, car il y a un peu du meilleur de Watchmen et de Dark Knight réunis dans ce Superman : ton sombre et adulte, action dantesque, personnages torturés, dilemmes moraux, accomplissement de soi. Finalement les vrais héros du film, ils sont peut-être davantage là, dans tous ces ingrédients qui font le sel de cette nouvelle page de l'histoire d'un mythe du comics américain. Le personnage de Clark Kent/Superman est superbement introduit dans le quotidien (dans tous les sens du terme) et la double identité qu'on lui connait et l'on ne peut s'empêcher de sourire devant la scène finale qui tisse le lien nécessaire avec toutes les autres versions et annonce d'évidentes futures aventures. Aussi audacieuses ?

Kevin Costner (Waterworld) est le père adoptif de Clark Kent, une véritable profession de foi.

Un petit mot sur la musique. C'est l'infatigable Hans Zimmer qui a eu le devoir de recréer une partition pour la nouvelle saga. Et la première impression est qu'il est resté bien trop sagement dans ses propres références, à coups de sonorités massives déjà entendues dans les Batman et Inception (de Nolan aussi !!!). Le thème porteur, lui, ne se laissant vraiment déguster qu'à la toute fin et réussit le défi de proposer une vraie alternative à l'inoubliable compo de John Williams, progressif, héroïque, épique :

 

 

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dimanche, 16 juin 2013

Impossible par James Arthur [Musiques]

 

 

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jeudi, 13 juin 2013

Drakensang Online VS D&D Neverwinter [Jeux Vidéo/MMO]

[Testé sur une Expérience de Niveau 9]

Personnage Un gros point noir. Une seule race (Humain), seulement trois classes (une quatrième en prévision) et des possibilités de customisation qui se comptent sur les doigts de la main. Et pour couronner le tout, impossible de visualiser son personnage à 360° pour l'admirer sous toutes les coutures. On devra se contenter d'une simple illustration en 2D.

Loot On retombe souvent sur les mêmes objets. Les coffres sont rares et certains ne sont accessibles que si l'on a auparavant acheté la bonne clé. On ne tombe que sur de l'équipement adapté à sa classe, ce qui peut être un avantage ou un inconvénient selon les goûts de chaque joueur.

Univers Très classique, il demeure particulièrement envoûtant grâce à son bestiaire et ses décors magnifiques.

Gameplay d'une simplicité enfantine qui le destine aux débutants comme à ceux qui n'aiment pas devoir jongler avec une dizaine de raccourcis clavier. Deux compétences de combat liées aux clics de la souris. A vous d'interchanger avec les autres disponibles si nécessaires. La contrepartie c'est que les commandes ne sont pas personnalisables. On avance en cliquant où l'on veut, le reste se fait via l'interface même du jeu. Bon timing nécessaire, car cela peut occasionner parfois des combats confus et des maladresses. Menus clairs et agréables, assez classiques, mais on ne pardonne pas de ne pas pouvoir comparer directement deux objets différents. Quêtes basiques, PvP, Donjons, Arènes, la routine du MMO. Gros bémol pour les donjons qui demanderont un niveau conséquent et d'acheter des sceaux pour être accessibles. Un arbre de compétences est dédié au PvP, et ne pourra être exploité qu'en faisant du PvP. Mais la mobilité du personnage ne nous encourage vraiment pas à le faire.
La mobilité est en effet le gros point noir du jeu. Elle est très réduite même pour les Braconniers. Pas de roulade. Le saut doit être débloqué en tant que compétence et chaque saut doit être rechargé. Pas de saut possible en ville. Les trajets rapides sont payants. prix symbolique pour revenir à la ville de départ, mais parfois, sur un site proche, vous coûteront les yeux de la tête.

http://3.bp.blogspot.com/-Nj_pgysTms0/Ub-3GuTDqYI/AAAAAAAAJFQ/5usxOJhpydk/s1600/drakensang-online-spieleweide-1-745404.jpg

Résultat de recherche d'images pour "drakensang online"

Graphismes Le gros point fort de ce titre qui, rappelons-le, fonctionne sur navigateur et ne nécessite donc pour être joué aucun téléchargement, si ce n'est, éventuellement, une MAJ de Java si vous ne l'avez pas, mais ceci est une simple formalité. Les environnements sont variés, détaillés, colorés et vivants à souhait, ce qui donne beaucoup de crédibilité et d'intérêt à l'univers. D'autant que même avec un PC moyen, le visuel demeure très agréable à l'oeil.

Musique et Effets Sonores de grande qualité, ils nourrissent très bien l'ambiance du jeu, palliant l'absence d'animations et de cinématiques.

Animation Fluide. Mais il faut savoir que les donneurs de quêtes ne sont pas animés. Leur visage apparait sous forme de dessin. Il n'y a aucune cinématique et pas de doublage. Tout apparaît en textes via des menus Pop-up heureusement très lisibles. La traduction est de bonne facture. Ce système, s'il semble très archaïque, a néanmoins l'avantage d'accentuer la dynamique du jeu et de rappeler qu'on est dans un Hack'n Slash, pas dans un RPG.

Système Economique Plusieurs monnaies. Les plus courantes sont les pièces de bronze, les pièces d'argent, les pièces d'or (???), puis la monnaie emblématique, l'Altérium qu'on obtient très difficilement dans le jeu. Le malheur c'est qu'on ne peut quasiment rien acheter avec les autres monnaies. Même revendre ce qu'on a amassé ne nous permet pas d'en obtenir et le comble c'est que pour augmenter la capacité de son inventaire, il nous faut une forte somme d'Altérium. Un joli cercle vicieux.

Bilan/Intérêt Ce Hack'n Slash est remarquable par la représentation de son univers et la facilité de sa prise en main. Quêtes basiques, PvP, Arènes, la routine du genre. Mais les grosses qualités de ce MMO par navigateur sont corrompues par l'aprêté de son système économique qui plombe rapidement les perspectives d'avenir du joueur qui souhaite s'investir sans vouloir payer de sa poche. A conseiller donc en priorité aux joueurs occasionnels qui recherchent quelque chose de joli, de simple et de dynamique.

[Testé sur une Expérience de Niveau 22]

Customisation Sans être vertigineuse, elle suffira aux joueurs qui veulent avoir le sentiment de créer un perso unique sans passer des heures dans les menus dès le début du jeu. Plusieurs races et classes dispos qui plairont d'emblée aux amateurs de Fantasy et à noter que les points des caractéristiques sont définies par un lancer de dés virtuels, clin d'oeil malin à la nature d'origine de la licence. Si vous n'êtes pas satisfait du résultat, c'est simple : vous relancez !

Loot Conséquent, mais il arrive beaucoup trop souvent que l'on récupère des objets faits pour une autre classe. Du coup on revend beaucoup. Le malheur c'est que le visuel des objets même plus puissants diffère rarement des autres. Coffres assez nombreux dont un spécifique en guise de récompense pour chaque quête. Certains trésors demanderont un kit approprié qu'on peut acquérir facilement. On peut directement comparer l'équipement porté et celui de l'inventaire.

Univers Sombre, riche avec un vrai effort de narration sur certaines quêtes, le mode The Foundry pouvant l'enrichir tout à loisir. On regrette par contre de passer autant de temps dans la première grosse ville du jeu, aussi vaste et animée soit-elle.

Gameplay Prise en main rapide même pour les débutants. Proche des canons du genre tout en étant assez souple puisqu'on peut en plus personnaliser les commandes. Des evènements quotidiens sont là pour rompre la monotonie dont du PvP, des Arènes, des Quêtes de Profession, des Donjons et des quêtes créées par les joueurs eux-mêmes via le mode The Foundry, le gros point fort de ce D&D qui le démarque ainsi de tous les autres MMO du même genre. L'outil est remarquable par sa simplicité, d'autant qu'il est intégralement traduit en français. En créant une quête, on a le sentiment de basculer dans les coulisses de Neverwinter et d'explorer son architecture. Même si vous n'avez pas la patience et/ou l'inspiration de créer vos propres challenges, je vous recommande d'aller y faire un tour ne serait-ce que pour profiter de cette opportunité inespérée. Un système de notation et de commentaires permet d'évaluer les quêtes ainsi générées que l'on retrouve directement dans le jeu via des panneaux d'annonces ou en s'adressant aux bardes, ce qui constitue une excellente idée pour les intégrer de manière cohérente dans l'univers.

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Graphismes Ils ne pourront véritablement être appréciés qu'avec une bonne bécane. Les décors extérieurs sont assez pauvres et vides en général. On passe beaucoup de temps dans l'Enclave du protecteur qui, elle, est particulièrement vaste, peuplée et soignée.

Musique et Effets Sonores de très bonne facture. Après quelques soucis techniques, le doublage semble vouloir fonctionner à nouveau. Ce qui permet d'apprécier des dialogues soignés et souvent humoristiques.

Animation Simples en générale, certaines se détachent du lot.

Système Economique Qui dit Free-to-Play dit invitation à payer de sa poche pour bénéficier de toute la richesse du jeu. Le Zen est la monnaie maîtresse du jeu, mais elle n'est heureusement pas indispensable pour progresser. Il faudra seulement être plus patient et moins exigeant.

Bilan/Intérêt Si vous n'êtes pas très regardant sur l'habillage, vous devriez trouver votre compte avec ce D&D version MMO au gameplay très intuitif, complet sans être trop lourd et au contenu faramineux. Les fans de l'univers seront évidemment plus facilement séduits en retrouvant de nombreuses références connues. Par contre, n'espérez pas du pure Role Play, comme souvent sur le net, on a droit à un Hack'n Slash plus ou moins bien déguisé (respawn des mobs très prononcé), ce qui pourra occasionner chez certains un sentiment grandissant de lassitude devant la répétitivité de l'action et le manque de variété visuelle de l'équipement. De fréquentes MAJ gomment progressivement les bugs et défauts rencontrés.

 

 

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mardi, 11 juin 2013

ShapeShifter par CHRLX [Vidéos/Pubs Artistiques]

 

 

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E3 2013 : Mon ressenti [Jeux Vidéo/Evènements]

Xbox one PS4 ken le survivant Les Gifs Xbox One VS PS4

L'E3 a lieu depuis hier et plusieurs conférences et de nombreuses news sont déjà tombées. L'occasion de donner mon ressenti sur ce qu'on sait et ce qu'on peut déduire.

Je ne vais pas y aller par quatre chemins, comme un certain nombre de joueurs, je trouve que Microsoft se tire une balle dans le pied en transformant ce qui était une console de salon agréable et suffisamment innovante en Box internet améliorée. Mais s'il n'y avait que cela...

Son prix astronomique (499 euros, 100 euros plus cher que la PS4), son kinect intégré de base (tant pis si on en veut pas), l'obligation de se connecter toutes les 24h, le fait qu'elle soit zonée, sans oublier des limitations pour ce qui est de partager les jeux achetés avec ses amis sans oublier le système des jeux d'occasion qui sera plus ou moins avantageux pour le joueur selon si les enseignes auront accepté les conditions de Microsoft. J'appelle ça la dictature.

Comment prêter un jeu PS4 à un ami ou comment Sony se moque gentillement des méthodes de son concurrent

Etant jusqu'alors un pro 360, je suis en train de virer franchement ma cutille. Et je ne serai pas le seul, ni le dernier. La Xbox One est en train de perdre un pourcentage croissant de joueurs passionnés qui veulent pouvoir jouer librement, c'est la moindre des choses. Ayant toujours préféré les exclus de Sony, la prochaine génération sera peut-être pour moi l'occasion de profiter pleinement de licences et de jeux qui m'ont toujours intéressé, mais que je n'ai pu que suivre de loin.

Ce que je retiens, une fois n'est pas coutume, c'est la conférence d'Ubisoft, toujours une longueur d'avance. Avec de nouveaux trailers sur les très attendus Assassin's Creed 4 et Watch Dogs, on a eu droit aussi à la présentation de deux nouvelles licences fort prometteuses où la liberté et la coopération seront au coeur du gameplay sans mettre de côté le visuel qui, là encore, semble terrible.

En revanche, on peut reprocher à Ubi d'avoir laissé totalement le soin à Sony de présenter le gameplay de ses deux gros titres de fin d'année. Après réflexion, on peut considérer que de leur point de vue c'était sans doute plus logique que le constructeur présente l'aspect purement technique des jeux, nouvelle machine oblige. Mais peut-être aurait-il fallu faire un meilleur compromis, AC4 et Watchdogs étant de toutes façons multi-supports.


ASSASSIN'S CREED 4 BLACK FLAG


On remarque que pour la première fois, le héros pourra s'accroupir et peut-être ôter et mettre sa capuche à loisir. L'aspect infiltration serait donc bien au coeur du jeu si on le souhaite.

WATCH DOGS

Beaucoup d'encre  a déjà coulé au sujet de cette nouvelle licence qui a sauvé littéralement l'E3 2012. Voir l'aperçu

THE DIVISION

Sur ce titre, on note en particulier les interfaces qui fusionnent littéralement avec le jeu, exploitant ce que Ubisoft avait initié avec Splinter Cell Conviction et surfant sur le visuel holographique de titres comme Dead Space. Adieu les menus qui cassent le rythme et alourdissent le gameplay. La Next-Gen ça passe aussi par là et Ubisoft l'a très bien compris.

THE CREW

Rouler à travers les States en long , en large et en travers, ça vous dit ?

Trois autres titres très attendus eux aussi dont l'un désespérément et qui annoncent la suprématie future des Open World, on l'espère pour le meilleur.

The Witcher sera sans nul doute le porte-étendard de la nouvelle génération de RPG. L'exploration et la narration seront exploitées comme jamais.

 

Après moult rumeurs et faux espoirs, Faith fête officiellement son grand retour, cette fois en monde ouvert, même si le jeu est encore loin d'être achevé.

Un nouveau héros pour la série Infamous avec de nouveaux pouvoirs très convaincants !

 

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lundi, 10 juin 2013

Du Côté du Perche [Photos]

Un grand merci à Diane pour m'avoir tendu la perche (ou le Perche lol) afin de participer à cette journée très enrichissante à Montigny Le Gannelon et un grand merci aussi à l'association Jonathan Pierres Vivantes et à tous ses membres pour leur énergie.

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Le Château de Montigny Le Gannelon, le nom Montigny (Mont Igni) vient du fait que dans le passé, on envoyait de cette ancienne forteresse des signaux de feu pour communiquer et Le Gannelon est le nom d'une famille qui a repris le château par la suite

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Un cerf croisé avec une pieuvre ?

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La Tour de l'Horloge

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 La Tour des Dames


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Celle-là elle est pour toi, Xavier !

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LA PHOTO BONUS

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Allez les gars, on se motive ! Faut battre le record d'apnée de Saturnin !

 

 

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jeudi, 06 juin 2013

De Toutes les Matières [Photos]

Teintes et textures se mariant allègrement

quelque soit la saison, quelque soit l'élément

De la vue au toucher, il n'y a parfois qu'un pas

que l'oeil du photographe pour vous franchira

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"Pierre qui roule..."

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"Vous allez voir de quel bois je me chauffe ! " ou bien "J'ai dormi comme une souche !"

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"Un anneau pour les gouverner tous..."

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 "Ainsi soie -t-il !"

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"Méfiez-vous de l'eau qui dort"

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"Ca me barbelés frontières ! "

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"Popeye a encore vomi ses épinards !"

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"J'ai le rouillomètre à zéro !"

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" Le vert, c'est l'espoir !"

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"Ca donne envie de (re)faire le mur !"

 

LA PHOTO BONUS

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"Le Silence de l'Agneau !" par Woody La Laine

 

 

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mercredi, 05 juin 2013

Up The Roof et Show biz [Vidéos/chansons Live]

Spéciale dédicace à Hervé & Jo, en souvenir de ce super weekend partagé !

 

 

 

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Uninvited par Alanis Morissette [Vidéos/Chansons Live]

L'une des chansons phares du film La Cité des Anges en Live et avec orchestre s'il vous plaît. A consommer sans modération.

 

 

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Pop Redemption [Cinéma/Critiques]

En général, je prévois toujours un minimum à l'avance les films que je vais voir au ciné. Etant donné que j'y vais peu, je préfère ne pas y aller pour rien. Ce matin je découvre par hasard l'affiche de Pop Redemption et piqué par la curiosité je visionne la bande-annonce. Et là je me dis tout net : il faut que j'y aille !

Pop Redemption C'est l'histoire de 4 potes formant un groupe de Black Metal (oui, celui avec les grosses voix !) avec dans le rôle du leader/chanteur un Julien Doré méconnaissable en ersatz de The Crow, totalement envoûté par le satanisme, ce qui ne l'empêche pas outre-mesure de s'occuper de sa grand-mère mourante.

Les joyeux drilles décident de faire la route jusqu'au Hellfest, le mythique et incontournable festival de Metal pour tous les fans et représentants du genre dignes de ce nom. Seulement voilà, la cohésion du groupe n'est plus ce qu'elle était et le Road Movie va rapidement se transformer en Hell Movie, pour notre plus grand plaisir.

Pop Redemption est avant tout une comédie dans la plus pure tradition. Elle en respecte tous les codes et ne réinvente nullement le genre, avec ce que cela comporte de grosses ficelles et de rebondissements prévisibles, mais aussi de répliques qui tuent et de gags qui font mouche. Le charme qui s'en dégage, lui, est assez unique et les mélanges que le scénario brasse avec bonheur valent le déplacement, surtout si on aime la musique au sens large. Car loin de se cantonner à un hommage forcené au Black Metal et autres références gothiques, le film est avant tout un prétexte à réunir deux styles à priori que tout oppose. Et c'est avec une certaine jubilation que l'on assiste à la transformation progressive de ces quatre attachants rockers nihilistes en adeptes de la pop music rétro version peace and love. L'occasion d'adresser au public plusieurs clins d'oeil délectables.

Grégory Gadebois (qui incarne JP) a un petit air de Marco Hietala, le chanteur/bassiste du groupe Nightwish

                       

Et si cela ne suffit pas pour vous convaincre, la présence d'Alexandre Astier (Une Rencontre, Le Domaine des Dieux et qui a participé à l'écriture de Pop Redemption) et d'Audrey Fleurot (la Dame du Lac de Kaamelott, la secrétaire intouchable dans...Intouchables) seront certainement l'argument ultime pour y parvenir, d'autant que c'est pour eux deux l'occasion de se réunir, de manière...très surprenante !

Pour conclure, on passe un très bon moment, sans prétention, mais sans ennui. On aurait sans doute apprécié que la mise en scène soit plus mordante et aussi inventive que les deux génériques stylisés qui servent d'écrin au film, mais en l'état on a droit à une sorte de film-concept mutant, un gentil hybride de The Pick of Destiny qui aurait rencontré Jean-Philippe en cours de route. Ce qui avouons-le, n'est déjà pas si mal, vu qu'il s'agit là de très bonnes références.

 Si ça vous rappelle un autre groupe, c'est normal !

 

 

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mardi, 04 juin 2013

D'Aile et d'Air pur 2 [Photos]

Qui n'a jamais rêver, en regardant un oiseau planer dans le ciel, pouvoir être à sa place et évoluer dans le ciel à sa guise, en profitant d'une liberté sans pareille ? Une nouvelle ode à ces maîtres de l'air, à ces complices du vent.

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Question fierté, le coq gaulois peut aller se remplumer !

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 Ce canard se prendrait-il pour un cygne ?

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C'est toujours plus agréable de voir des oiseaux patauger dans autre chose que du mazout !

 

 

LA PHOTO BONUS

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Vas-y, Saturnin, tu vas battre ton Record d'apnée !



 

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lundi, 03 juin 2013

Du Côté de la Normandie [Photos]

Une fois n'est pas coutume, un gros merci à mon véver pour ce plan topissime ainsi qu'à Jo (on l'aura ce goéland !) Aprile et Chantal, sans oublier le beau temps sans lequel ce weekend au bord de la mer n'aurait sûrement pas été aussi paradisiaque !

 

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Les Falaises d'Etretat à gauche...

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 Et à droite !

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Sous les falaises

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Dédicace pour Jo : aussi fou que moi du flou !

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LA PHOTOS BONUS

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La faune locale est accro à la nourriture locale. Un conseil : planquez vos sandwichs

 

 

 

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