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lundi, 30 septembre 2013

Re-member Booking [Photos]

Mitihuè organise via sa page Facebook un concours de photos baptisé Re-member Booking. La finalité de ce projet est de constituer un album souvenir communautaire de notre Terre. Plusieurs thèmes sont disponibles. Moi j'ai choisi La Faune en publiant la photo d'une panthère noire léchant son petit. N'hésitez pas à participer, à liker ma photo si elle vous plait et à partager un max.

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dimanche, 29 septembre 2013

La Vie Secrète de la Nature 2 [Photos]

Faire des photos dans ce chemin pour moi c'est comme être un gosse dans un magasin de jouets. Et plus j'en fais plus la nature se révèle et se laisse apprivoiser. Magique ! A noter que la mise au point étant très capricieuse, les plans rapprochés des animaux sont dus moins au zoom de mon appareil qu'à un rapprochement direct avec mes sujets. Discrétion et patience sont requises, mais peut-être aussi une communion croissante avec la nature qui devine mes meilleures intentions alors que tant ne la respectent plus. Et ce n'est pas les deux sacs poubelles remplis de détritus humains qui me feront mentir.

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Cette sauterelle ci-dessus et ce lézard ci-dessous sont les animaux les plus craintifs et réactifs qui soient et pourtant ils se sont révélés des modèles exemplaires, comme cela arrive de plus en plus souvent. Le nez de mon appareil était collé sur eux, je changeais régulièrement de position et étais assez près pour les toucher, et malgré tout cela, j'ai pu littéralement les mitrailler. Pas une goutte de sang, mais un bonheur sans égal car je ressens dans ces moments-là une véritable osmose avec la nature !

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Les fameux fruits de berce, séchés ! la plante entière est comestible quand elle fait sa floraison ; les tiges et les jeunes pousses, puis les fruits après la floraison ont un goût de mandarine, de cardamone qui explose en bouche ! (Merci Amélie pour les infos)

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Ce papillon semble littéralement fixer l'objectif et prendre la pose. Comment, dans ces cas-là, ne pas penser qu'on devient intime avec la nature ?

 

LA PHOTO BONUS

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On ferait n'importe quoi pour devenir Spiderman !


 

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vendredi, 27 septembre 2013

Type Rider [Jeux Vidéo/Aperçus]

La chaine ARTE lance son premier jeu vidéo, forcément atypique forcément intéressant !

 

 

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mercredi, 18 septembre 2013

Les Chroniques de Riddick [Cinéma/Critiques]

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Le personnage de Riddick a fait de Vin Diesel une star. Forcément, difficile de ne pas céder à la tentation de boire à nouveau à la source.

Alors que sort en salles le film Riddick, troisième volet de la saga à la gloire de cet anti-héros du futur - c'est l'occasion idéale de revenir sur les Chroniques de Riddick, le deuxième volet, une référence SF à plus d'un titre.

Pitch Black narrait l'alliance forcée de Riddick, criminel endurci captif à bord d'un vaisseau - avec ses geôliers suite au crash de l'astronef sur une planète pour le moins hostile. Cette série B avait connu un joli succès grâce à un Vin Diesel particulièrement charismatique en gentil salaud, une ambiance futuriste mâtinée d'horreur et quelques rebondissements percutants. Fort de cette réussite, le réalisateur David Twohy mettait sur les rails une suite autrement plus ambitieuse qui paradoxalement n'a pas répondu aux attentes.

Les Chroniques de Riddick démarre lui aussi comme une série B avec des gueules de seconds couteaux tout droit sortis d'une BD, une ambiance virile, une action musclée et des punchlines à la clé. On est en terrain connu. On se laisse gentiment entraîner sans rien attendre de plus qu'un divertissement honnête et efficace de bout en bout, et c'est déjà pas mal.

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Thandie Newton incarne à merveille Dame Vaako, intrigante à tous les niveaux. Ses tenues ont fait l'objet d'un soin particulier à l'image de tous les autres éléments visuels du film. Un véritable défilé de mode pour une actrice naturellement très élégante.

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Cette robe imitant la peau d'un serpent rend justice à son tempérament vénéneux.

Mais progressivement le film gagne en subtilités et en profondeur. L'histoire s'enrichit de plusieurs sous-intrigues (le destin et les origines de Riddick, sa relation avec Kira, les mercenaires à ses trousses, l'invasion des Nécromongers, l'intrigue politique et ses implications) lesquelles finiront par s'alimenter et ne faire qu'une pour mieux nous surprendre. Certains personnages, même secondaires, gagnent en épaisseur et ce qui auparavant ressemblait à un innocent film d'action se transforme en Space-Opera grandiose, en fresque épique aux accents shakespeariens. Complots, dilemmes, ambition, tragédie, Riddick lui-même ne sera pas épargné par le destin qui finira par le dépasser complètement. La chute est restée dans les annales comme l'une des plus surprenantes à ce jour et elle a même récemment été reprise dans le jeu Saints Row IV.

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Habitué aux seconds rôles dans de grosses productions, Karl Urban en trouve un d'envergure avec le personnage de Vaako, au point de presque rivaliser avec Riddick.

Mais Les Chroniques de Riddick c'est aussi et surtout un design de malade. Twohy a travaillé énormément l'univers des Nécromongers (les méchants du film) et ça se voit. C'est bien simple, ce peuple a lui seul aurait pu faire l'objet d'une saga indépendante tant il est mis en valeur. De l'architecture du Temple (le coeur du vaisseau-mère) aux costumes en passant par la philosophie, les vaisseaux, les armes et accessoires, l'esthétisme est remarquable par son aspect unique, à la fois organique et gothique. Puisqu'on parle d'image, impossible de ne pas rendre justice à Crematoria. Cette planète mérite particulièrement bien son nom puisque de manière cyclique une chaleur mortelle vient en balayer la surface aride. Là encore, Twohy démontre tout son savoir-faire avec des panoramas à couper le souffle où l'on observe la tempête de feu naître à l'horizon et gagner du terrain sur Riddick et Cie. Riddick retrouvera d'ailleurs une vieille connaissance dans cet enfer carcéral, rencontre qui ajoute énormément d'intensité à l'aventure et ce, jusqu'à la fin. 

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La belle et intrépide Kira joue un rôle croissant dans le film. Elle est un personnage directement issu de Pitch Black. Si vous ne voyez pas lequel, je vous laisse le soin de découvrir la vérité par vous-même.

Et comme si tout cela ne suffisait pas, Twohy est parvenu à rassembler un casting, lui aussi, très inspiré. Karl Urban (Eomer dans Le Seigneur des Anneaux), Thandie Newton (Mission Impossible 2), Alexa Davalos (Le Choc des Titans) Colm Feore (La Cité des Anges, Paycheck) dans le rôle du Haut-Commandeur Nécromonger et même la vénérable Judie Dench (M dans James Bond) dans le rôle d'Aereon, une mystérieuse élémentarienne, insaisissable (dans tous les sens du terme) et qui en sait long sur le compte de Riddick.

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Colm Feore (l'amant frustré de Meg Ryan dans La Cité des Anges) n'a pas forcément la stature et le physique pour incarner le diabolique Haut-Commandeur des Necromongers, mais ses attitudes et le visuel de son costume compensent largement.

Difficile de résister à un contenu aussi généreux, on est d'autant plus frustré de savoir que le film n'a pas connu la gloire qu'il méritait et qu'il a conditionné le background de sa suite, beaucoup trop similaire dans les grandes lignes à Pitch Black, histoire évidemment de renouer sans trop de risques avec le succès. Faire du neuf avec du vieux, la recette navrante d'Hollywood depuis quelques temps déjà, le public y étant pour beaucoup, ne l'oublions pas, puisque c'est lui qui conditionne les formules (cf Mon Bilan du Cinéma).

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jeudi, 12 septembre 2013

Hommage à Patrick Swayze

DEATH IS DIRTY. BODHI'S GONE WITH THE GREAT WAVE

HIS BODY'S GONE, BUT HIS GHOST IS DANCING !!!

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En quelques films il a marqué les esprits par son charisme et son interprétation sensible. Acteur physique aussi à l'aise dans les scènes de danse (Dirty Dancing) de comédie et de drame (Ghost, Donnie Darko) ou d'action (Point Break, Road House), il a peu peu déserté le grand écran au profit de séries, de téléfilms et de films de série B où il apparaît souvent sous-employé.

Au plus profond de moi, j'ai toujours espéré assister à son come-back dans des projets de grande envergure. D'autres acteurs y avaient eu droit, pourquoi pas lui ? Il l'aurait amplement mérité. Il avait encore tellement à offrir.

Le sort en a décidé autrement. Et c'est doublement regrettable.

Son jeu passionné m'inspirait beaucoup. Je l'avais idéalement imaginé dans le rôle du barbare Rex Warrior, héros de mon roman de fantasy du même nom, en tant qu'incarnation du personnage de Monarque de mon histoire Le Combat du Papillon ou encore celle de Wulfen dans Tribal. Mais sa mort ne change rien à cela, son image continue de paraître dans mes oeuvres.

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"Aimer, ce n'est pas se regarder l'un l'autre, c'est regarder ensemble dans la même direction." Antoine de Saint-Exupéry

Fan de l'acteur dont je regrettais depuis longtemps l'absence au cinéma dans des rôles d'envergure, à la mesure de son talent, son décès m'a profondément ému et moi qui ne lis plus et encore moins des biographies, je n'ai pu m'empêcher de plonger dans la sienne.

Autant vous dire que je ne l'ai absolument pas regretté.

On en apprend beaucoup, sur son parcours, son tempérament de battant, ses forces et ses faiblesses, les coulisses de ses films, ses passions, la relation fusionnelle avec sa femme (co-auteur de la bio) avec laquelle il a pu partager tant de choses. Patrick se raconte et il le fait bien. Comme lorsqu'il explique comment il a dû batailler constamment pour se délivrer de son image de danseur sexy.

Je suis d'autant plus touché par son parcours que j'ai connu un évènement douloureux qu'il a lui aussi expérimenté : la perte d'une soeur aînée avec laquelle il était proche et dans des conditions identiques. Troublant ! Je publie moi-même le journal de ma soeur Lado sur ce blog.

Toute vie est riche d'enseignements et lorsqu'elle est posée à plat, si elle ne révèle pas tous ses mystères, elle permet néanmoins de mesurer sa grandeur, sa symbolique.

Le cinéma américain s'est privé très injustement d'un comédien hors pair. J'espère qu'il mesure sa douleur. Moi, oui, plus que jamais.

Une phrase de Patrick à retenir et qui a guidé toute sa vie :

 

" Quand un rêve disparaît, il faut en chercher un nouveau."

 

 

T’as aimé…ou pas

T’as tout lu, tout vu, tout entendu…ou pas

Peu importe, post un com et like la page pour dire que tu existes car ton avis est important pour moi, mais aussi pour le futur de ce blog, un gros merci d’avance !

mercredi, 11 septembre 2013

La Vie Secrète de la Nature [Photos]

Ca faisait longtemps, une nouvelle série de photos comme je les aime et peut-être vous aussi, prises dans un endroit secret connu de moi seul...et d'une certaine Amélie qui m'espionne avec son troisième oeil lol ! J'ai fait la rencontre de mon premier serpent ou plutôt de mes premiers serpents puisqu'ils étaient deux, bien entrelacés dans les hautes herbes, désolé pas de photos, courageux mais pas téméraire ! Peut-être une prochaine fois, qui sait ?

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De petites mains tissant le fil du destin

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Une gracieuse danseuse étoile-d'araignée

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Deux caméléons imitant des feuilles, à moins que ce ne soit l'inverse....

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La plume aussi fait son nid

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LA PHOTO BONUS

 

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Parce que la nature est toujours en fête, elle a aussi sa barbapapa


 

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mardi, 10 septembre 2013

Soldats Inconnus : Mémoires de la Grande Guerre [Jeux Vidéo/Aperçus]

Une époque sur laquelle les jeux vidéo se sont peu penchés jusqu'alors avec en prime un traitement graphique original et une approche narrative recherchée. Loin de ses séries phares à gros budget comme Assassin's Creed et Splinter Cell, les studios Ubisoft démontrent qu'ils peuvent être inspirés de bien d'autres façons. Soldats Inconnus en est un exemple probant. Quand la forme et le fond sont intimement mêlés, ça s'appelle de l'art, tout simplement.


 

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samedi, 07 septembre 2013

X-Com Enemy Unknown [Jeux Vidéo/Critiques]

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Ayant fait les beaux jours du PC, la série X-Com a débarqué l'année dernière sur console avec un épisode baptisé Enemy Unknown, dans la droite lignée de ses prédécesseurs tout en offrant les avantages de la modernité. A l'heure où The Bureau : X-Com Declassified débarque, revenons sur ce jeu savoureux à plus d'un titre.

Nous ne sommes pas seuls dans l'univers et nous allons bientôt le regretter. De méchants aliens se mettent à envahir les quatre coins du globe avec des intentions belliqueuses évidentes tout en gardant le secret sur leurs ambitions à long terme. Evidemment, c'est la panique.

Heureusement, le monde peut compter sur X-Com, un département top secret-défense (et tout le tremblement), une sorte de M.I.B. croisé avec le MI6 et le SWAT. Oui, c'est du lourd !

Vous incarnez rien moins que le commandant de cette agence gouvernementale d'envergure et le moins que l'on puisse dire c'est que vous n'êtes pas près de l'oublier tant le personnel de la base vous sollicitera pour des tâches très diverses.

Car la première spécificité de ce titre c'est de jongler constamment entre plusieurs genres et donc entre plusieurs types de gameplay à savoir Action, Stratégie et Gestion.

Les phases d'action, qui vous verront prendre le contrôle d'une escouade de soldats,  se dérouleront au tour par tour dans des zones restreintes, mais bien fichues. Comme aux échecs, vous devrez placer vos pions avec stratégie afin de remplir au mieux votre objectif en limitant les pertes et en débusquant l'ennemi qui apparaitra parfois là où on ne l'attend pas.

Les possibilités qui apparaissent simples et limitées au début, deviennent rapidement exponentielles une fois qu'on a maîtrisé les bases. Chaque soldat a sa spécialité, le choix de son équipement et de ses compétences le rendant encore plus unique au fur et à mesure de sa montée en grade, son aspect étant lui aussi personnalisable. Les décors sont destructibles, modifiant l'éventail de déplacements et de couvertures,  et beaucoup de facteurs - certains paramétrables - viennent donner du piment à ces séquences qui sinon pourraient rebuter les profanes en la matière.

Une fois votre mission accomplie, vous revenez à la base et vous pouvez profiter des récompenses gagnées. L'expérience acquise par vos troupes leur permettra régulièrement d'obtenir de nouvelles compétences et de nouvelles armes, l'arsenal et les cadavres des E.T. feront avancer la recherche, vous octroyant une technologie encore plus efficace et des connaissances primordiales sur l'ennemi que vous combattez et qui ne restera pas Unknown très longtemps si vous faites bien votre boulot. L'argent tout comme les ressources matérielles et humaines offertes par les pays défendus seront, eux, les bienvenus pour lancer de nouvelles recherches et fabrications qui étendront et renforceront votre base souterraine, laquelle bénéficie d'un visuel en coupe 2D du plus bel effet, avec zoom à la clé.

Comme dit précédemment, les activités ne manquent pas, une action en entraînant une autre. De ce fait il n'y aura de temps mort que si vous le décidez. Si vous faites les mauvais choix, vous en verrez les conséquences tôt ou tard à moins de sauvegarder très régulièrement (ce qui est possible, on apprécie) en sachant que vous avez toujours l'opportunité de réparer une erreur en choisissant la bonne option plus tard lorsqu'elle se présente.

Par exemple si vous décidez au départ de défendre les USA plutôt que la Chine, rien ne vous empêche après d'envoyer un satellite en Asie afin de montrer ouvertement votre soutien à cette nation et diminuer ainsi son taux de panique.

En effet, vos agissements, vos réussites et échecs ont un impact direct sur la manière dont l'agence va être perçue dans le monde. L'un de vos objectifs est d'ailleurs de garder les faveurs d'un maximum de pays puisqu'ils sont ni plus ni moins de précieuses sources de revenus et le baromètre de votre efficacité.

En cas de négligences trop importantes, les pays se retireront de l'équation et vous perdrez de précieux alliés. Perdez-en un peu trop et c'est le X-Com dans son entier qui en subira les frais. En deux mots pour le joueur : Game Over !

Bah oui, on ne rigole pas. Rassurez-vous avant que vous en arriviez à cette extrémité vous aurez largement le temps de pouvoir faire face.

Gardez simplement à l'esprit que même si vous êtes le commandant, vous aurez toujours des comptes à rendre, notamment au Conseil, votre commanditaire, qui vous briefera sur les évènements en temps réel et les retombées de vos décisions.

Loin de vous lâcher sans aide sous ce déluge de responsabilités, le jeu vous oriente constamment pour vous expliquer le fonctionnement de la base et des divers éléments qui s'y rattachent de près ou de loin, vous laissant progressivement une marge de manoeuvre de plus en plus large à mesure que vous progressez dans le scénario. Et même si vous avez raté une explication, vous n'aurez qu'à fouiller les archives pour retrouver l'info.

En gros, le jeu est très bien présenté et ses graphismes plutôt cartoonesques ne sont en rien un obstacle à son appréciation. On pourra juste tiquer sur la gestion de la caméra durant les escarmouches, manquant de souplesse, ainsi que sur les brèves animations lors de ces mêmes phases, trop rigides pour s'intégrer parfaitement. Mais comme elles sont désactivables, ce défaut est relatif.

Sous des dehors pas forcément engageants à première vue, cet opus de la série est donc une excellente surprise puisqu'il réserve un background particulièrement fouillé et un gameplay aussi riche que plaisant, faisant de l'ombre à des licences plus populaires en terme d'intérêt. Un bon exemple à suivre donc.

 

 

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La Légende de Shalimar [Vidéos/Pubs Artistiques]

C'est devenu une coutume. Afin d'asseoir leur suprématie, les marques de luxe investissent dans des publicités d'envergure dignes d'un blockbuster pour le lancement de leur dernier produit. Décors grandioses, esthétisme léché, ambiance romanesque à souhait, tout cela avec le concours d'artistes de renom.

Avec La Légende de Shalimar, Guerlain revisite à sa manière un mythe oriental. Si on pourra trouver les ralentis un peu trop faciles et les poses du mannequin-vedette un peu trop gratuites et racoleuses, on retiendra davantage la composition envoûtante de Hans Zimmer (qui n'est autre que le thème "Chevaliers de Sangreal" du film The Da Vinci Code) ainsi qu'une séquence finale visuellement très réussie.

En terme d'émotion et de réussite artistique, on lui préférera L'odyssée de Cartier.

 

 

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