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mardi, 15 mai 2012

Le Parfum [Cinéma/Critiques]

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Le roman de Patrick Süskind publié en 1985 a connu un succès phénoménal. On peut donc s'étonner qu'il ait mis autant de temps à être adapté en long-métrage. Heureusement, le résultat en images est à la hauteur de cette oeuvre singulière riche en émotions.

Jean-Baptiste Grenouille naît à Paris au XVIIIème siècle d'une manière qui marque déjà profondément l'esprit du spectateur (pour public averti). Dans cet environnement aussi crasseux que cruel, il ne doit littéralement sa survie qu'à son flair prodigieux. En effet, Grenouille est né Nez, autrement dit, les odeurs n'ont aucun secret pour lui : il peut les détecter d'aussi loin qu'elles se trouvent, les identifier, les dissocier et les analyser avec une précision inégalée. Ce pouvoir va conditionner son existence entière, le poussant à commettre des crimes sans la moindre once de remords. Son but ultime : concevoir le parfum parfait, ultime. Mais pour ce faire, il devra sacrifier nombre de femmes.

Paradoxalement, c'est un être qui dégage une rare innocence et l'on s'attache rapidement à lui et à sa destinée extraordinaire grâce au visage très expressif et à la performance de Ben Wishaw (Le Parfum, Bright Star, Cloud Atlas, Skyfall)

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Dustin Hoffman (Sphere) campe le mentor de Grenouille lequel finira fatalement par inverser les rôles au vu de son prodigieux don.

Le défi de transposer le best-seller était grand car comment traduire le formidable don de Grenouille en images ? Le réalisateur Tom Tykwer (Cloud Atlas) a réussi de manière fort simple. Gros plans, zooms, et nous voilà plongés dans l'univers de ce véritable anti-héros dont le parcours autant que le pouvoir fascinent à plus d'un titre. L'histoire était déjà d'une originalité folle, mais elle ne perd rien de son intensité. Si la dernière partie peut surprendre, faire sourire ou même écoeurer, elle ne fait que rappeler finalement que le Parfum est une fable adulte dotée d'une dimension métaphysique.

A mi chemin entre film historique, thriller et film fantastique, le Parfum est une oeuvre fascinante, à voir absolument.

 

 

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mardi, 08 mai 2012

INCEPTION : Esprits Frappeurs [Fanfic]

 

Nathan Tyrdell était conscient de sa supériorité. Son prisonnier beaucoup moins. Il se sentit obligé de le convaincre :

- Cette maison n’est pas très grande et elle est loin, très loin de la ville la plus proche. Si j’étais optimiste, je dirais que les chances que tes amis ont de te retrouver frôlent le zéro.

Le prisonnier le toisait avec une absence totale d’expression. L’interrogatoire n’allait pas être simple. Mais Tyrdell s’en moquait. Il avait tout son temps et chaque bribe d’information qu’il parviendrait à extraire de l’homme serait pour lui la source d’une joie sans nom.

Comme pour le lui annoncer, il pêcha une pomme dans la coupe posée sur la table – unique décoration de la pièce – et mordit dedans à pleines dents. Il jeta un bref coup d’œil à travers la fenêtre derrière lui. On pouvait entendre les bruits familiers de la campagne à l’heure où elle s’endort. N’eut été la situation, il se serait volontiers laissé bercer par la douce plainte du vent et le chant des grillons.

- Je ne suis pas celui que vous croyez.

Le prisonnier parlait enfin. Pour Tyrdell, c’était déjà une victoire. Il commençait à se soumettre.

- Ok. Alors dites-moi qui vous êtes.

L’homme se mordit la moustache. Des ecchymoses couvraient son visage émacié. Tyrdell ne se souvenait plus d’où elles venaient. L’arrestation avait-elle été aussi violente ? L’avait-il battu pour le faire parler ? Etrange. Il n’arrivait pas à se souvenir. D’ailleurs en y repensant, il ne se souvenait pas non plus comment ils étaient arrivés jusque-là. Voiture civile, transport spécial ? Train, avion, hélico ?

Tyrdell secoua la tête. C’était au prisonnier de se sentir paumé, pas à lui. Il était fatigué, voilà tout. Le voyage avait dû être long et ce face à face sans doute entamé depuis plusieurs heures. Il en avait vu d’autres.

Comme si le prisonnier avait soupçonné son trouble, il ajouta :

- Nous ne sommes pas non plus où vous croyez que nous sommes.

L’assurance du type faisait froid dans le dos. Tyrdell s’empêcha de déglutir pour ne pas trahir son inquiétude.

- Bien. Dites-moi tout.

Tyrdell tendit la main pour croquer sa pomme, mais elle n’était plus là où il l’avait laissée. La coupe aussi avait disparu.

- Regardez par la fenêtre.

Tyrdell avait la désagréable sensation de ne plus maîtriser la situation. Pire. Il avait le sentiment très net de se retrouver dans le rôle du prisonnier. Il obéit avec un geste traduisant un maximum de dédain. Ce qu’il vit au-dehors le bouleversa au-delà des mots. Comme pris d’un vertige, il se recula et se raccrocha à la table, le visage livide.

- Bordel, mais qu’est-ce que…

Il se tourna vers le prisonnier. Ce dernier baissa la tête comme pour se soustraire à sa vue. Lorsqu’il la releva, son visage n’était plus le même. Les ecchymoses, la moustache, tout cela avait disparu. Sans qu’il pût l’expliquer, Tyrdell contemplait désormais une femme aux cheveux blonds dans un costume d’homme. Elle le dévisagea froidement :

- Ce n’est que le commencement, Tyrdell !

Elle donna un violent coup dans la table avec ses pieds, se projetant à travers la porte derrière elle.

Ligotée sur sa chaise, elle plongea dans le vide, s’éloignant à toute vitesse du building suspendu entre ciel et terre. Les fenêtres de l’immeuble explosèrent et des gardes jaillirent des débris de verre pour fondre droit sur elle tels des oiseaux de proie. Il y en avait une dizaine. Et ils arrivaient très vite.

La femme eut la vision fugitive d’un océan en contrebas. Si elle pouvait l’atteindre avant qu’ils ne l’atteignent, elle, elle serait alors hors de danger. Si seulement elle pouvait se libérer de ses liens. Tyrdell avait bien serré. Même dans l’état d’ahurissement dans lequel il devait être, son esprit était encore solide. On ne lui avait pas menti à son sujet. C’était un adversaire redoutable. Elle essaya de faire abstraction de sa situation pour se focaliser sur la corde enserrant ses poignets. Le premier garde était presque sur elle lorsqu’elle se libéra. Il se jeta sur la chaise. En un tournemain, elle l’attacha au siège au moment où ses acolytes ouvraient le feu. Son bouclier improvisé fut rapidement criblé de balles lui laissant tout le loisir de plonger droit vers l’océan. Des balles fusèrent tout près d’elle, lui indiquant que le stratagème n’avait pas fait long feu. Elle ôta sa veste de smoking et la jeta derrière elle. Son plus proche assaillant la reçut en pleine figure, lui faisant gagner de précieuses secondes. L’eau miroitante n’était plus qu’à une centaine de mètres. Comme aurait dit Tyrdell, en étant optimiste, les chances qu’elle avait de survivre à une telle chute frôlaient le zéro. Heureusement le monde dans lequel elle évoluait remettait totalement cette perspective en question. Une balle siffla à un cheveu de sa joue droite. Il fallait qu’elle évite toute blessure, toute douleur extérieure à elle. Le moment n’était pas venu de sortir. Elle avait encore des choses à faire ici. Elle se concentra sur sa chute. Elle atterrit sur l’océan, un genou fléchi, comme sur un terrain solide. Les gardes, eux,  plongèrent tout autour d’elle, dans de grandes éclaboussures. L’espionne se releva. Elle fit quelques pas sur l’eau, se délectant du caractère surréaliste de la situation.

- J’adore ce job !

Mais Tyrdell n’avait pas dit son dernier mot. Il s’était mêlé à ses poursuivants. Elle le vit s’élever hors des flots à la verticale avant de poser les pieds sur la surface comme elle venait de le faire.

- Je ne sais toujours pas qui tu es, mais j’ai une idée plus précise de l’endroit où nous sommes.

Il regarda autour de lui avant d’ajouter :

- Mon esprit ou le tien ?

L’espionne allait répondre quelque chose, mais elle comprit que Tyrdell essayait moins de connaître ses intentions que de gagner du temps. Elle repéra les gardiens – simples extensions défensives de l’esprit de Tyrdell – se mettre stratégiquement en place sous la surface de l’océan. Eux aussi profitaient pleinement des capacités extraordinaires du rêve dans lequel ils cohabitaient temporairement. Debout, la tête renversée, du moins de son point de vue à elle, ils avançaient sournoisement l’arme à la main dans sa direction, espérant la piéger mortellement. Mais Rachel Morgan avait de l’expérience. Et elle savait s’en servir.

- Je te laisse deviner, Tyrdell !

Sur ces mots elle se mit à courir tandis que des chapelets de balles venaient trouer le sol liquide tout autour d’elle, dans un ballet de gerbes fantastique. Rachel n’était pas du genre à fuir. Elle le faisait assez dans la réalité. Autre monde, autres règles. Ici, elle se sentait puissante, car son esprit avait toujours été fort et son imagination, galopante. Plusieurs gardiens jaillirent hors de l’eau à quelques mètres devant elle, pointant leurs armes sur elle. Ils firent feu. Les yeux de Rachel s’agrandirent. Un court instant le temps ralentit. La jeune femme fit volte-face. Elle jeta un regard à Tyrdell, courant vers elle avec une lenteur qu’il s’efforçait de vaincre, avant de basculer à 180° sous la surface de l’océan. De ce fait, elle se retrouva derrière l’un de ses poursuivants. Elle lui arracha facilement son pistolet et au moment où le temps reprit son cours normal, elle lui assena un violent coup de la crosse de son arme. Le type eut une réaction inattendue. Il fut projeté hors des flots et s’envola dans le ciel comme si Dieu en personne l’avait convié. A son tour, Rachel fit feu. Ses balles crevèrent le sol aqueux avant de crever la peau de deux gardiens qui décollèrent à leur tour. La gravité était délicieusement capricieuse. Rachel sourit avant de comprendre que Tyrdell l’avait rejoint et lui tirait dessus. Elle décida de remonter à la surface sans prendre la peine de se retourner cette fois. Elle jaillit hors de l’eau, les talons pointant vers le haut et ce faisant, neutralisa deux autres gardiens. Lorsqu’elle retomba sur ses pieds, Tyrdell était en train de faire surface, la tête la première. Elle le visa avant de sourire malicieusement. Elle se concentra et une fraction de seconde plus tard, la surface de l’océan était aussi gelée qu’un iceberg. Tyrdell était pris au piège dans la glace, la moitié de son corps seulement dépassant de l’eau, sa main armée du flingue se tortillant désespérément sous la surface. Rachel s’approcha de lui. Elle le savait vulnérable, sans défense. Bien plus qu’il ne voulait le laissait paraître, en vérité. Ses gardiens avaient tous disparu. C’était un signe. L’espionne posa un genou au sol et darda sur Tyrdell un regard aussi froid que l’océan sous ses pieds.

- A ton tour de répondre à mes questions.

Tyrdell cracha sur elle.

- Tu peux rêver !

Rachel se mit à rire.

- Je crois que ce n’est pas incompatible. Ecoute, si tu as compris où nous sommes alors tu comprendras aussi qu’ici, j’ai des moyens particuliers de te faire parler qui n’existent pas ailleurs. Des menaces qui n’existent pas ailleurs. Des peurs.

Elle leva les yeux. Tyrdell l’imita, à son grand regret. Le building qu’ils avaient quitté tous deux avec fracas était en train de tomber du ciel droit sur eux. Comme si de rien n’était, Rachel poursuivit :

- Si j’étais optimiste, je dirais que les chances que tu as de survivre à cette chute frôlent le zéro.

L’inquiétude de Tyrdell fit soudain place à une surprenante assurance.

- Si nous étions dans la réalité, je te donnerais sans doute raison.

Tyrdell se tira une balle dans la jambe. A l’instant où il disparut, Rachel comprit son erreur. Distraite par son échec, elle en oublia le building qui s’écrasa de tout son poids sur la banquise improvisée.

Rachel se réveilla sous le choc. Elle avait l’habitude de ces séances aussi reprit-elle rapidement ses esprits. Elle regarda autour d’elle. Elle était dans une pièce d’une grande sobriété, rappelant celle dans laquelle Tyrdell l’interrogeait au préalable. Elle reconnut la même table et la même coupe de fruits. Un employé la débrancha de la machine. Un homme aux cheveux blonds habillé avec élégance s’approcha d’elle. Il pinça les lèvres. Rachel secoua la tête.

- Désolée, Cobb. J’ai merdé.

Ils tournèrent la tête et observèrent Nathan Tyrdell ligoté à une chaise. Son visage émacié était couvert d’ecchymoses. Son bâillon l’empêchait d’émettre le flot d’injures qu’il leur adressait. L’employé le débrancha lui aussi de la machine, une valise ouverte contenant un système complexe connu de bien peu d’hommes.

- Pas grave, dit le dénommé Cobb. Tu as encore besoin d’un peu de temps, c’est tout. Je suis sûr que ça peut marcher.

Rachel était moins confiante.

- J’ai pas le feeling en ce moment.

- Tu déconnes. Tu es un véritable Esprit Frappeur. Je ne connais personne comme toi. Tu as toute les qualités pour ce job. Tu es une faussaire brillante, une architecte hors pair et une organisatrice experte. A côté du tien, mon CV ressemble à celui d’un touriste.

Rachel eut un sourire las.

- Venant de toi, c’est un sacré compliment. Mais être polyvalent, est-ce que ce n’est pas une manière élégante de dire qu’on est qu’à 50% dans tout ce qu’on fait ? Tu devrais peut-être songer à embaucher une équipe de spécialistes. Pour être sincère,  le fait que Tyrdell ait été entraîné rend les choses plus difficiles que je ne l’imaginais. Je manque de concentration et en plus de cela on a plus beaucoup de temps. Je ne comprends pas,  je suis motivée pourtant. Difficile de ne pas l’être surtout quand on devine ce que ce salaud doit préparer comme coup tordu !

Nouvelle bordée d’injures censurée par le bâillon.

Cobb allait répondre quelque chose, mais Rachel reprit :

- C’est vrai que tu ne connais personne comme moi ?

Cobb s’assit face à elle. Il prit une pomme dans la coupe de fruits et mordit dedans à pleines dents.

- Non, je connais quelqu’un d’autre.

D’un regard, Rachel l’enjoignit à être plus précis.

- Il est passé dans le camp ennemi, il y a plusieurs années. C’est un Esprit frappeur lui aussi. Vraiment très doué.

Rachel désigna Tyrdell du menton.

- Il pourrait le faire parler ?

Cobb se leva.

- Pour ça, il faudrait le convaincre de travailler pour nous. Le connaissant, c’est peine perdue.

Rachel retrouva son sourire malicieux.

- Ou faire en sorte qu’il travaille pour nous sans qu’il s’en rende compte.

Cobb et Rachel se dévisagèrent avec complicité :

- Inception !

 

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samedi, 05 mai 2012

Captain America : Super Soldat [Jeux Video/Critiques]

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             Bouclier ça se dit shield en anglais. Y a pas de hasard !

Comme tant d'autres super héros estampillés Marvel, Captain America a eu droit à son adaptation sur grand écran, puis sur console de salon. Laminé par les critiques et boudé par les joueurs, on pourrait se demander l'utilité d'un énième test aujourd'hui. Tout simplement parce que votre serviteur a adoré et qu'il va se faire un plaisir de vous expliquer pourquoi.

Commençons par ce qui marque en premier lieu : l'animation ! Cap' se déplace avec une agilité remarquable et les combats sont d'une fluidité exemplaire grâce à des mouvements réalistes et variés avec en prime moult ralentis très cinématographiques.

Le gameplay, quant à lui, rappelle effectivement la jouabilité des derniers Batman, mais après tout qu'importe puisque le résultat est tout aussi bon et de surcroît très bien adapté pour ce titre.

On alterne les combos et les stratégies avec un régal croissant sur les nombreux soldats de l'Hydra et des Boss de plus en plus impressionnants. Plusieurs coups spéciaux sont disponibles que l'on acquiert lorsqu'on a accumulé suffisamment de points d'expérience.

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Quand Cap' pète un boulon, ce sont les robots de l'Hydra qui trinquent !

 Le jeu se découpe en 18 chapitres. Mais là où on attendait un jeu linéaire et simpliste, on découvre avec surprise et bonheur un véritable petit monde semi-ouvert. En effet, vous serez amené à visiter dans ses moindres recoins une forteresse de l'Hydra découpée en plusieurs zones distinctes dont les différents accès (notamment par les égouts) se déverrouillent progressivement, nous permettant ainsi de les revisiter plus tard pour dénicher les nombreux trésors à collectionner et pourquoi pas refaire le portrait de quelques fantassins, même une fois l'histoire terminée. Et si ça ne vous suffit pas, 10 défis à débloquer vous attendent pour mettre vos talents à rude épreuve. Rien que pour avoir pensé à tout ça, on applaudit le studio en charge du projet !

La baston c'est bien beau, mais Cap' en a aussi sous le casque et il le prouve via quelques énigmes, mais surtout des passages de plate-formes très bien fichus qui vous permettront d'accéder à des artefacts cachés ou encore de booster votre jauge de combos en respectant le parfait timing dans vos acrobaties. Tout simplement jouissif ! Et pour lui faciliter la tâche, un mode focus lui permet de déceler d'un coup d'oeil les éléments importants du décor comme les points de saut et les objets disséminés.

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    Cap', grand adepte de la Barre de Fer !

Les graphismes ne sont pas éblouissants, certes et le moteur physique montre ses limites (textures, distance d'affichage) mais le design des personnages (Cap' en tête) est soigné et l'univers rétro-futuriste a bénéficié d'un travail approfondi. (en attestent les nombreux bonus)

Oui, malgré une relative redondance dans les combats et les ennemis, on sent que les développeurs se sont efforcés d'offrir une aventure rythmée, variée avec en prime une bonne dose d'exploration qu'on espérait pourtant pas. On prend beaucoup de plaisir à incarner le Super Soldat et à démanteler l'organisation Hydra à coups de bouclier. Que demander de plus ?

Un jeu qui mérite donc largement d'être (re)découvert et d'être rangé aux côtés de titres comme Wolverine au rayon restreint des adaptations réussies.

 

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